Les habitants du quartier 𝐄𝐲𝐞𝐧𝐚𝐬𝐬𝐢, nous sommes dans le 2ème arrondissement de la commune d’Oyem, sont sous le choc et éveillés depuis pratiquement depuis 1 heure du matin. Avec le décès prématuré d’un enfant âgé de 3 ans dans les flammes d’un incendie d’une rare violence. À en croire aux sources proches du voisinage, tout serait parti d’une bougie, dans cette maison d’habitation d’une famille nombreuse.Un mort et plusieurs dégâts matériels.
C’est le triste bilan d’un violent incendie survenu très tôt ce lundi 12 juin 2023 au quartier 𝐄𝐲𝐞𝐧𝐚𝐬𝐬𝐢, 2ème arrondissement d’Oyem, sur la route Radio Gabon – Woleu-Ntem . Des sources du voisinage, une bougie serait à l’origine de ce sinistre qui vient affliger la famille de la jeune victime.Toujours des mêmes sources, les circonstances de cette macabre découverte du corps calciné au 4ème degré d’un enfant de 3 ans remontent dans la nuit du 11 au 12 juin 2023.Alors que les enfants de l’infortunée 𝐌𝐨𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐀𝐕𝐎𝐌𝐄 𝐀𝐁𝐎𝐆𝐇𝐄, âgée d’au plus d’une quarantaine d’années est une Gabonaise. Ces derniers occupent quotidiennement une chambre unique. Il est environ 1 heure du matin, l’aîné du défunt avait pris le soin de passer la nuit avec son petit frère en le déplaçant de la chambre des enfants avant de se volatiliser dans l’oisiveté.
L’incendie est déclaré. Sous l’effet de la panique pensant avoir déplacé tous les enfants au même titre que les autres biens ménager. C’est sans compter avec le sommeil dans lequel plongeait paisiblement le petit garçon.Ouf! C’est au petit matin, à l’heure du bilan que le petit ne répondra pas à l’appel. Entre orenant les fouilles, son corps à été découvert sans aucune chance d’espoir de survivre.Voilà un dossier école qui fait appel au sens de responsabilité, à la fiabilité des installations domestiques et à la construction anarchique pour éviter, où, de prévenir de tels accidents à la fois dramatiques et endeuillants.Toute une famille, désormais à la belle étoile pourvu que les autorités de tutelle proche des affaires sociales et des calamités naturelles, planchent véritablement sur le dossier pour une éventuelle aide participative. Y compris les personnes de bonne foi.
Firmin Ellebiang et Bernadin Ngui Ngui Obiang
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