La 14e édition de la Tropicale Amissa Bongo débute ce lundi 21 Janvier à 11h, à Bongoville dans la province du Haut-Ogooué (Sud-Est) avec une arrivée jugée à Moanda. Alors qu’ils s’apprêtaient à effectuer leur premier dégraissage avec leur entraîneur Abraham Olano, présent à Franceville depuis samedi soir, la sélection nationale, par le biais d’un de ses tauliers Ephrem Ekobena, dans une interview exclusive accordée à l’Agence gabonaise de presse (AGP) donne les nouvelles de la sélection nationale. «L’équipe se porte bien. Elle s’est toujours portée bien et le moral est au beau fixe malgré les petites difficultés auxquelles nous avons été confrontées surtout sur le plan du matériel. Mais avec l’arrivée du coach Abraham Olano, les choses se dessinent peu à peu. Malgré l’état des vélos à notre disposition, nous allons nous battre et défendre les couleurs de nôtre pays. On nous a promis du nouveau matériel, on ne sait pas les raisons pour lesquelles cette dotation n’est pas arrivée à notre destination. Mais, on va se battre avec nos anciens vélos, où certaines pièces ont été changées par le mécanicien», affirme Ephrem Ekobéna, cycliste gabonais. Une réaction qui ne laisse entrevoir aucune chance à l’équipe du Gabon dans une compétition, où les professionnels européens dominent l’épreuve depuis plus de 10 ans. Ephrem Ekobéna enfonce : «Cela va nous porter forcément préjudice. Mais lorsqu’un cycliste est bien entraîné son objectif est de réaliser des bons résultats et le matériel contribue à cela lorsqu’il est de bonne qualité. Nous sommes motivés et je pense que c’est cela le plus important. Nous tenons à cœur à redonner une image rayonnante à notre équipe nationale par rapport aux événements qui se sont produits par le passé et qui ont terni notre image». Le coup d’envoi de l’épreuve sera donné dans quelques minutes et le nom du maillot jaune de la première étape est attendu dans deux 2 heures au plus. RAMA ]]>
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