Plusieurs panelistes ont intervenu. Le docteur Andrea Annick Nsounda neurologue au CHUL a planché sur les facteurs de risques dont le stresse, les migraines et la mauvaise alimentation entre autres.
Le docteur Eric Lebanda médecin rééducateur au centre d’action sanitaire et social à son tour a édifié l’auditoire sur la prise en charges des malades et la réduction des risques d’AVC.
Selon la présidente de l’ONG SOS AVC, Aimée Délia Ndjaly, l’accident vasculaire cérébral est une maladie qui fait rage dans le monde entier et lorsqu’elle intervient il faut absolument poser un diagnostic. C’est la principale cause de mortalité chez la femme, après le cancer. l,’AVC. La maladie touche les jeunes aussi bien que les personnes âgées.
L’association SOS AVC entend mener ses activités sur l’ensemble du territoire national. Son objectifs est d’étendre la sensibilisation sur les causes de la maladie sur toute l’étendue du pays, d’informer les familles sur la maladie, de mener des campagnes de prévention, de diffuser des informations sur les services et la prise en charge médicale.
Nancy Ossinga/ Stagiaire
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