En association avec 2 de ses amis, Corentin MOMBO viole sa petite-fille pendant 8 mois à Port-Gentil (Pog). Interpellés puis retenus dans les geôles de la police, les présumés violeurs à la chaîne qui attendent d’être déférés à la prison centrale de Port-Gentil, disent regretter leurs actes.
Une sordide histoire de viol a récemment été révélée au grand jour au quartier Île Mandji, dans le 2ème arrondissement de Port-Gentil. Pendant 8 mois, Grâce EBIA âgée de 17 ans a été l’objet sexuel de son grand-père Corentin MOMBO 59 ans, ainsi que de ses deux amis, Pierre IKOULANGOYE, 54 ans et Patrick MADOUKOU 45 ans.
Tout a commencé en novembre 2018, quand la jeune victime alors âgée de 17 ans, a décidé avec l’accord de sa mère, d’aller habiter chez ses grands-parents, dans un quartier appelé Île Mandji à Pog. Tout se passait bien jusqu’au jour où sa grand-mère s’est rendue à une veillée mortuaire, laissant la fille seule avec son grand-père. « Lorsque j’ai vu papy entrer dans ma chambre, je lui ai demandé ce qu’il cherchait. D’un ton menaçant, il me dit de me taire. Puis, il s’est jeté comme une bête sur moi, m’a déshabillée et m’a violée », a relaté la victime à l’Agence gabonaise de presse(AGP).
La jeune fille traumatisée a ajouté que son bourreau, après avoir commis son forfait s’est permis de proférer des menaces de mort à l’aide d’un couteau à l’endroit de sa petite fille, « il m’avait dit que si par malheur, je venais à révéler ce qui s’est passé, il me tuerait à l’aide d’un couteau » a-t-elle confié. Grâce EBIA n’a pas eu d’autres choix que d’obéir aux menaces de son bourreau.
Non satisfait de son acte odieux, le « papy violeur » a décidé d’associer ses deux amis Pierre IKOULANGOYE et Patrick MADOUKOU à son vice, formant ainsi un gang de violeurs spécialisés dans la chair fraîche, avec pour principale victime leur petite fille innocente. En effet, deux mois après le début de son délit sur sa petite-fille, Corentin MOMBO a enjoint ses compères de prendre part au jeu.
Leur crime a été perpétré pendant plusieurs mois jusqu’à ce que la victime en vienne à bout. Laquelle a décidé de quitter la maison de ses grands-parents maternels, pour retourner chez sa mère, où elle a tout révélé du supplice qu’elle a vécu au cours des 8 précédents mois. Cette dernière va déposer une plainte auprès de l’antenne locale de la police judiciaire après expertise gynécologique, qui va sonner le glas pour les prédateurs sexuels.
Le gang des violeurs placé derrière les verrous sont passés aux aveux et ont reconnus les faits qui leur ont été reprochés. Cependant, ils regrettent leurs atrocités et attendent désormais d’être déférés à la prison centrale de la capitale économique.
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