Brice Laccruche Alihanga a été nommé Directeur de Cabinet du président de la République en août 2017 avec pour objectif d’insuffler une nouvelle dynamique au Palais du bord de mer mais surtout, d’accélérer les reformes économiques et sociales en prônant une gestion rationnelle des finances publiques. Deux ans après, le bilan est plus que positif. On peut affirmer qu’il a été à la hauteur de ses anciennes fonctions.
Dès sa nomination au poste de Directeur de cabinet de la République, Brice Laccruche Alihanga, s’est immédiatement démarqué par son humanisme et sa qualité d’infatigable travailleur. L’homme a en quelques années seulement à travers une méthode de travail basée sur le pragmatisme, révolutionné le palais du bord de mer.
C’est certainement le type de collaborateur dont avait besoin le président de la République pour mener le Gabon sur la voie du développement. Tel un père fouettard, Brice Laccruche Alihanga est devenu le cauchemar des paresseux et des personnalités véreuses. Tout ce bousculement a donné lieu à des cabales en tous genres mais nous avons également pu assister à la naissance d’un autre mode de gestion.
Les réformes de BLA
Dès sa prise de fonction, BLA a accumulé en peu de temps de nombreux états de services dont le record n’a jamais été atteint par certains prédécesseurs. Ses méthodes, à savoir la compétence, le travail, la discipline, les résultats, mais aussi intégrité et honnêteté ont participé efficacement à l’avancement de la haute administration.
Il a suivi à la lettre l’avancement des grands dossiers de la République et a appliqué à la lettre les instructions du chef de l’État. Ce sont ces qualités qui lui ont permis de solutionner la crise opposant l’État Gabonais, Bolloré et Olam. Il a également réussi en bon négociateur à calmer les humeurs des agents syndiqués des régies financières qui avaient initié un mouvement de grève il n’y a pas très longtemps . Grâce à lui également, l’État Gabonais a pu régler sa dette de 70% envers la SEEG.
L’ancien DCPR a mis fin aux vielles méthodes qui empêchaient l’avancement des dossiers dans l’administration. On se souvient qu’il a ramené de l’ordre dans le secteur douanier afin d’optimiser le rendement financier à travers l’opération « Aigle Douane ». De même, ce dernier a réduit les effectifs des personnes lors des voyages présidentiels. Car le déplacement d’un effectif pléthorique aux voyages présidentiels était coûteux au contribuable Gabonais.
Il a opéré un véritable chamboulement à la tête des agences et directions générales des sociétés de l’État. Dégommant des incompétents et laxistes au profit des compétents, des personnalités dynamiques soucieuses de l’obligation des résultats. Aussi, Brice Laccruche Alihanga avait fait auditer la Direction Générale des Impôts pour avoir une idée de la gestion fiscale du pays à l’époque
Au terme de cet audit, Brice Laccruche Alihanga a fustigé les responsables des impôts de la non application efficace de la mesure d’exonération et d’allègement fiscaux pour une catégorie de contribuable tel que le veut le président Bongo.
Durant ces deux ans en qualité de Directeur de cabinet, un vent nouveau a soufflé sur l’administration publique. Les réformes en vue du redressement des finances publiques entamées, la Task Force sur l’éducation et bien d’autres mesures allant dans le sens de l’amélioration du cadre de vie des Gabonais en cours d’exécution.
Brice Laccruche Alihanga au service des populations
Brice Laccruche Alihanga, c’est aussi la générosité, et un homme de terrain.On a encore en mémoire la grande « caravane lunettes pour tous » au profit des populations défavorisées. Ici Alihanga a pris en charge les frais ophtalmologiques de 60.000 personnes qui, après examen, ont reçu gratuitement des lunettes médicales. C’est encore lui qui fut le premier à aller rassurer les populations de Nkoltang lors de la section de la nationale 1 au niveau de cette localité, du fait de la montée des eaux.
Au regard de ces faits, ce qu’il faut retenir est que Brice Laccruche Alihanga qui agace d’un côté et impressionne de l’autre ne sert que les intérêts du peuple Gabonais comme son mentor Ali Bongo Ondimba.
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