La lutte contre le réchauffement climatique constitue plus que jamais, ce, depuis quelques années déjà, une véritable préoccupation pour les pays aussi bien considérés comme grands pollueurs que pour les pays impactés négativement par cette colère de la nature qui nous rappelle combien de fois les hommes ont surexploité les ressources naturelles pendant des siècles.
Au moment où se tient bientôt un Sommet États- Afrique à Washington, en présence du quotas des dirigeants africains dont le numéro 1 gabonais Ali Bongo Ondimba, il est toujours important de rappeler de la nécessité de mettre un accent particulier sur les questions environnementales. C’est d’ailleurs tout le sens des derniers Tweets de Noureddin Bongo Valentin, représentant au Gabon de l’ONG ENVIRONNEMENTALE “Space for Giants”. Ce dernier indique que “Notre planète est en danger et nous avons la responsabilité de la soigner.Les gestes individuels, conjugués et multipliés peuvent limiter notre impact sur l’environnement.Des chiffres alarmants publiés dans le dernier rapport du WWF qui nous rappellent que la biodiversité est aussi précieuse qu’indispensable à l’équilibre de nos écosystèmes.Combien de cris d’alarme faudra-t-il encore pour que nous réagissions enfin ? “.
L’implication des états, des dirigeants et de l’humanité entière est ici pointée du doigt. Raison pour laquelle Noureddin Bongo Valentin rappelle que, “Plus encore que nos comportements, c’est notre façon de penser que nous devons changer.La planète atteint un point de rupture, nous pouvons faire bien plus pour lutter contre le changement climatique et protéger la biodiversité”.
Herton-séna Omoungou
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