Reconduite le 8 Septembre dernier au sein du Gouvernement de la Transition en qualité de Ministre de l’Education Nationale, Camélia Ntoutoume-Leclerq fait partie des “miraculeux” du gouvernement précédent. Très appréciée pour sa bonne maîtrise de plusieurs dossiers, le membre du gouvernement a encore cette année de nombreux défis à relever. Déjà, 4 établissements scolaires sont d’ores et déjà disponibles à Libreville pour ce début de rentrée scolaire 2023-2024. Notamment deux écoles primaires et deux CES.
Dans le cadre de la phase 2 du Programme d’investissement dans le secteur de l’éducation (PISE), et le renforcement du plaidoyer pour l’extension du PISE dans sept autres provinces (PISE 2), Camélia Ntoutoume-Leclerq doit également poursuivre ce dossier. La construction de nouveaux établissements doivent se poursuivre. Par ailleurs, bien que le Chef de l’Etat ait décidé de la mise en solde de 1000 postes budgétaires en ce début d’année scolaire pour le secteur éducatif, le déficit en enseignants reste encore criard dans toutes les provinces du pays.
À cela s’ajoute la régularisation des situations administratives et des conditions de travail ; la lutte contre le redoublement. Que sont devenus les plus de 700 dossiers retenus dans le cadre d’un recrutement direct l’année dernière ?«Je vous exhorte à plus de créativité, de résilience et d’engagement, afin qu’ensemble nous restaurions notre système éducatif, avec une école rayonnante, saine, sûre et inclusive.Il nous faut donc, voir l’avenir de notre système éducatif loin, large, profond et ancré sur l’Homme», a indiqué Camélia Ntoutoume-Leclerq.
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