À la mort d’Omar Bongo en 2009, son fils Ali prend le pouvoir lors d’élections contestées par une partie de l’opposition. Il s’éloigne du schéma de patronage régional d’Omar, en plaçant autour de lui des gens de confiance plutôt que d’assurer un équilibre entre les différentes forces du pays. Ce faisant, il s’aliène les caciques du pouvoir local, et bloque les réseaux de redistribution politique et économique.Le phénomène s’amplifie après les émeutes de 2016 (consécutives à la réélection d’Ali), et l’AVC du président en 2018. La première dame Sylvia Bongo, son fils Nourredine, et un groupe de jeunes trentenaires, dits la Young Team, dont le manque d’expérience est inversement proportionnel à la hauteur des ambitions, sont aux manettes, au détriment des cadres du PDG, dont la grogne devient audible dès 2018. Ce sont ces hommes que la foule gabonaise se réjouit de voir arrêtés au lendemain du coup du 30 août, sur une vidéo virale exposant les coffres pleins de billets de banque de leur QG. Le CTRI, Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions composé seulement d’une douzaine de militaires naît avec à sa tête le Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema choisi par ses pairs pour diriger la Transition.
CTRI, UNE VISION PATRIOTIQUE POUR LA CONSTRUCTION D’UN GABON NOUVEAU :
Le Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) du Gabon s’engage dans une phase cruciale de transformation nationale avec la mise en œuvre de missions stratégiques.Ces missions visent à asseoir les fondations d’un État moderne, résilient et en phase avec les aspirations de ses citoyens. Elles reflètent une volonté indéfectible de conduire le pays vers une ère de progrès caractérisée par la stabilité, la prospérité et l’intégrité.Le CTRI est résolu à bâtir des institutions fortes et à redéfinir le contrat social pour un Gabon revivifié, tout en préservant l’essence de ses valeurs et l’intégrité de son patrimoine national. Ces missions constituent un engagement solennel envers chaque citoyen gabonais et une promesse de renouveau pour l’ensemble de la nation.
Refondation de l’État:
La refondation de l’État est au cœur de la mission du CTRI, visant à ériger des institutions solides, crédibles et légitimes. Cette mission comprend la consolidation de l’État de droit et l’assurance d’un processus démocratique transparent et inclusif. Cela est vu comme le socle nécessaire pour un développement durable et authentique du Gabon, où les principes démocratiques sont respectés et où les citoyens peuvent activement participer au destin national.
Préservation de l’intégrité du territoire et sécurité:
Le CTRI place l’intégrité territoriale et la sécurité des personnes et de leurs biens comme une priorité absolue. Cette mission vise à garantir que l’intégrité du Gabon est maintenue et que ses citoyens vivent dans un environnement sécurisé où la loi est respectée et où la sécurité publique est assurée.
Organisation d’élections libres et transparentes:
Le CTRI a pour mission d’organiser des élections locales et nationales libres, démocratiques et transparentes. Cette initiative est essentielle pour restaurer la confiance dans le processus électoral et pour assurer que la volonté du peuple soit le pilier de l’autorité gouvernementale. D’où l’attribution totale des élections politiques au Gabon au ministère de l’intérieur qui désormais a l’entière responsabilité d’organiser les élections et annoncer les résultats.
Élaboration d’une nouvelle Constitution:
La mission du CTRI inclut l’élaboration d’une nouvelle Constitution qui reflète les aspirations du peuple gabonais. Cette nouvelle charte fondamentale sera soumise à l’approbation populaire par référendum, garantissant ainsi sa légitimité et son acceptation par l’ensemble des segments de la société. D’où la mise en œuvre d’une des recommandations du dialogue national inclusif du mois d’avril 2024 qui est la mise en œuvre d’un comité chargé de labo d’une nouvelle constitution qui tient compte des 1000 contributions contenues dans le rapport final du Dialogue National inclusif et de l’esprit de la Charte de la Transition.
Culture de bonne gouvernance et citoyenneté responsable:
Le CTRI s’engage à instaurer une culture de bonne gouvernance et de responsabilité citoyenne. Cette mission est centrée sur l’encouragement de la transparence, de la responsabilité et d’une participation civique active, éléments fondamentaux pour le fonctionnement efficace d’un État démocratique.Promotion des Droits de l’Homme et libertés publiques:La mission du CTRI comprend également la promotion et la protection active des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Cela se traduit par l’élaboration et la mise en œuvre de politiques et de programmes visant à garantir le respect et la défense des droits de tous les citoyens gabonais.
Renforcement de l’indépendance de la Justice:
Le CTRI reconnaît l’importance cruciale de l’indépendance judiciaire et de la lutte contre l’impunité. Sa mission est de consolider le système judiciaire pour le rendre libre de toute influence extérieure, garantissant ainsi une justice équitable et le respect de l’état de droit, où personne n’est au-dessus de la loi.
Engagement de réformes majeures:
“Le CTRI s’engage à lancer des réformes substantielles dans plusieurs secteurs, notamment politique, économique, culturel, administratif et électoral. Cette mission est cruciale pour réaménager les structures de l’État afin qu’elles répondent mieux aux besoins actuels et futurs du Gabon et de ses citoyens, jetant ainsi les bases d’une évolution positive et concertée.
LES PROJETS CLÉS DU CTRI :
Articulé autour de six points, le PNDT vise à dynamiser la gouvernance dans notre pays, restaurer la confiance du peuple gabonais et jeter les bases d’un avenir meilleur. Cette ambition se traduira par une priorisation des actions à fort impact sur les développements socioéconomiques. Le plan national de développement pour la transition sera mis en place sur la période 2024-2026, traduisant ainsi la vision du Président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema. Le programme bénéficie notamment d’une enveloppe de plus de 4000 milliards de FCFA inscrits dans la loi des finances 2024.Au Gabon depuis 9 mois, soit depuis le 30 août 2023, les militaires sont au pouvoir réunis autour du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI). Et le pays est dirigé par le Président de la Transition, Président de la République Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema. Très rapidement il a mis en place des mesures fortes en posant des actions concrètes dans le sens de redonner au peuple gabonais le sentiment de fierté nationale.En 9 mois d’exercice l’impact est considérable et touche tous les secteurs et domaines de la vie des gabonais. La rigueur, l’efficacité et le pragmatisme sont devenus les maîtres mots depuis l’arrivée de Brice Clotaire Oligui Nguema à la tête du Gabon. Qu’est-ce qui a réellement changé depuis le 30 août 2023?
Pensions des retraités :
C’est enfin l’essor vers la félicité pour plus de 26.000 retraités civils et militaires gabonais qui ont perçu leurs pensions arrimées et revalorisées sur l’ensemble du territoire national. Du moins pour ceux-là qui ont procédé à leur bancarisation afin d’éviter les tracasseries administratives et longues files d’attente. Cette opération était une priorité pour le Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema qui a fait de la restauration de la dignité des gabonais l’un de ses leitmotivs.L’arrimage au NSR, la revalorisation des pensions principales et de réversion ainsi que le paiement des rappels y relatifs, vont coûter à l’État gabonais la bagatelle somme de 56 milliards de francs FCFA. Depuis une semaine, la moitié de vette somme est payée aux retraités civils et militaires sur l’ensemble des 9 provinces qui ne cessent d’exprimer à Oligui Nguema leurs remerciements et reconnaissances au regard de l’impact social de cette opération.
600 km de routes réalisées et en voie de réalisation sur l’ensemble du territoire national :
Au lendemain de sa prestation de serment durant laquelle il a fait de la construction et de la réhabilitation des routes une priorité absolue, le Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema est très vite passé de la parole à l’acte. En effet, dans sa stratégie de doter le Grand-Libreville et l’ensemble des autres localités du Gabon d’infrastructures routières modernes, le numéro 1 gabonais a lancé un vaste programme de voiries urbaines visant à améliorer le déplacement terrestre de la population.Des centaines de kilomètres de voies subissent actuellement une cure de jouvence et d’autres ont déjà été livrés. Pour le Député de la Transition , Alexandre Awassi, il s’agit des «Olibéton, une véritable révolution en construction d’infrastructures se déroule sous nos yeux». Dans le grand Libreville, le Carrefour ACAE,cap caravane ,Kinguele,Poste D’ Akébé,Carrefour SNI,Bambouchine,Sotega,Atsibi N’stoss,Ancienne gare routière – carrefour Léon Mba, Bikélé bizango et bien d’autres voies subissent un lifting véritable. La méthode Olibéton touche plusieurs localités dans le Gabon à la grande satisfaction de la population qui constate avec satisfecit le changement radical de leurs localités.
Réappropriation de la souveraineté nationale économique :
La CDC, Etablissement Public à Caractère Industriel et Commercial en appui aux Politiques Publiques conduites par I’État et les Collectivités Locales. représentera désormais I’État Gabonais au Capital Social de la Compagnie d’Exploitation Commerciale Africaine Gabonaise de Distribution (CECA- GADIS), leader national de la grande distribution.Premier acteur de la grande distribution du pays, le Groupe CECA-GADIS est principalement implanté au Gabon depuis plus de 90 ans mais aussi, à Sao- Tomé depuis 2012. L’entreprise dispose de 104 magasins et emploie plus de 1600 collaborateurs répartis sur l’ensemble du territoire national. Cette opération impulsée par Les Plus Hautes Autorités du pays vise à consolider la position de leader du Groupe par la présence d’un actionnaire institutionnel de référence mais surtout, à exploiter son excellent maillage territorial et renforcer la mise en oeuvre locale de certaines politiques publiques notamment, dans le domaine agricole via le Projet CDC TER.
Acquisition de 56% des parts d’Afrijet :
La souveraineté nationale en matière d’économie est une priorité absolue pour le Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema. Dans cette optique, il a instruit le gouvernement de Transition de la mise en place d’un vaste programme de réappropriation de certains secteurs. Ceca-Gadis, , Assala et Addax, ont en moins d’une année vu l’État gabonais devenir actionnaire voire propriétaire. Dernier fait en date, l’Etat gabonais vient de récupérer la majorité des parts de la compagnie aérienne Afrijet.Créée dans le but d’acquérir des parts, de manière directe ou indirecte, dans des sociétés gabonaises ou internationales du secteur du transport aérien, Fly Air Gabon Holding vient d’acquérir 56% des parts d’Afrijet. Ainsi, l’État Gabonais devient de facto l’actionnaire majoritaire de cette compagnie aérienne. Le nouveau bras séculier de l’Etat dans le domaine du transport aérien vient donc de réussir une véritable prouesse avec cette acquisition.
Rachat des actifs d’Assala :
Le Président de la Transition, Président de la République Chef de l’Etat, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema a présidé en effet , le 15 février, au Palais Rénovation, la cérémonie de signature d’accords marquant le rachat de la Société Assala par l’Etat gabonais en présence de l’Administrateur Directeur Général de la Société Gabon Oil Company (GOC). Prenaient également part à cette cérémonie le Vice-Président de la Transition, le Premier ministre et les membres du gouvernement de la Transition, les membres du CTRI, les Présidents des institutions, le Corps diplomatique, les représentants de la société civile, les élèves, les investisseurs et experts du secteur pétrolier.Annoncé dans son discours à la Nation du 31 décembre 2023 par le Président de la Transition, le rachat de la société Assala Gabon par l’Etat gabonais via GOC à hauteur de 75% vise un double objectif qui est de sécuriser les ressources nationales d’une part, et d’avoir une gestion autonome dans les ressources pétrolières d’autre part. Cette opération permettra au Gabon d’élever son PIB, augmenter ses recettes et marquer sa souveraineté dans le secteur pétrolier qui représente le poumon de l’économie nationale.
Rétablissement des Bourses scolaires :
Chose promise, chose dûe. Le Président de la Transition, Président de la République Chef de l’État a procédé ce jour au lancement du paiement des bourses scolaires aux élèves méritants. Annoncée le 4 septembre 2023 par le Président de la Transition dans son discours d’investiture, cette mesure a été rendue effective ce jour conformément à l’Arrêté n°000/PM du 8 janvier 2024, en ses 6 premiers articles portant ouverture de la bourse d’étude aux élèves de l’enseignement secondaire.Cette première phase qui concerne près de 86 512 élèves des établissements secondaires publics répartis sur l’ensemble du territoire national permettra de récompenser les élèves ayant obtenu une moyenne supérieure ou égale à 12/20 pour le premier cycle et 11/20 pour le second cycle pour un coût estimé à plus de 93 milliards de FCFA.Pour joindre l’acte à la parole, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema qui prône la restauration des valeurs et l’excellence pour la jeunesse gabonaise a effectué le déplacement du Lycée National Léon Mba et du Lycée Technique National Omar Bongo Ondimba où il s’est imprégné de l’effectivité de ladite opération et a remis de façon symbolique la bourse a quelques élèves en présence des membres du gouvernement qui prendront le relais sur le reste des établissements.En outre il y’a également :- Sucaf Gabon devenue Les Sucreries du Gabon – construction des Lycées d’excellence -Les voies secondaires ( voiries urbaines)-Les casernes des sapeurs pompiers (akanda, Bikélé, Nzeng Ayong, et autres villes..);-Le lancement du bitumage de l’axe Ovan Makokou et Booué Makokou ;-Lancement de la construction de l’Université de Mouila ;-L’envoi de plus de 50 jeunes de Makokou en formation en Australie (le fer);-La baisse des prix par la nouvelle mercuriale ;– la création de plus de 5000 postes budgétaires ;– la création de Fly Air Gabon holding et Fly Gabon ;– équipements de la C2N2I– reprise des travaux de l’école supérieure des métiers du bois de Booué– dégel des concours d’entrée à la fonction publique pour lutter contre le chômage.Autant de décisions fortes qui font aujourd’hui renaître le sentiment de fierté nationale au sein de la population gabonaise.
Les hommes Stratégiques du CTRI à l’ère de la Transition :
Le vice-président de la Transition :Joseph Owondault Berre est très peu connu des Gabonais. C’est un homme très discret, retraité avant sa nomination, après avoir servi à la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) et la Société d’entreposage des produits pétroliers (SGEPP). Ses anciens collègues et collaborateurs disent de lui qu’il est un homme rigoureux, correct et surtout jamais impliqué dans le vol ou la corruption.Après ses études primaires et secondaires à Libreville, Joseph Owondaut Berre s’est envolé pour la France où il a obtenu son diplôme d’ingénieur à l’Institut national des sciences appliquées (INSA) de Lyon, option génie électrique.
Le Premier Ministre, Chef du Gouvernement :Raymond Ndong Sima, 68 ans, avait déjà été chef du gouvernement sous Ali Bongo de 2012 à 2014 mais s’était éloigné du pouvoir qu’il accusait depuis de mauvaise gouvernance, jusqu’à se présenter aux présidentielles de 2016 et de 2023. Pour cette dernière, il s’était désisté au dernier moment au profit d’un candidat commun de l’opposition. Il est notamment diplômé d’économétrie à l’Université Paris-Dauphine. Après sa cérémonie d’investiture en septembre 2023 en qualité de Président de la Transition,sur X, le Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema n’a pas hésité à saluer « son charisme, sa fibre patriotique, son pragmatisme et sa grande expérience du poste », qui ont été déterminants selon lui.
Directrice de cabinet privé du Président de la Transition : Victorine Tchicot, la directrice du cabinet privé du président de transition est l’une des principales portes d’accès à Brice Clotaire Oligui Nguema. Elle a une maîtrise et un contrôle parfait sur l’agenda, chargé du Président de la République, Chef de l’État. Fille d’un ancien ambassadeur du Gabon en Italie, Victorine Tchicot a été secrétaire particulière du président feu Omar Bongo Ondimba. Elle est réputée travailleuse, rigoureuse et dynamique dans l’accomplissement des missions qui lui sont dévolues. Elle est également connue pour avoir été chef de cabinet de Sylvia bongo, l’ex-première dame du Gabon. Précédemment cadre du Rassemblement héritage et modernité (RHM), elle était cette année en lice pour la députation au deuxième siège du 1er arrondissement de la commune de Libreville.
Président de l’Assemblée Nationale de Transition :Plusieurs fois ministre d’Ali Bongo et de son père Omar Bongo Ondimba , Jean François Ndongou préside l’Assemblée nationale de transition depuis le 11 Septembre 2024. Lors d’une interview sur RFI, le président de l’Assemblée nationale de transition avait salué l’engagement des militaires à remettre le Gabon sur de bons rails après plusieurs décennies de mauvaise gestion par le clan PDG-Bongo. À ce propos, Jean François Ndongou avait déclaré « Brice Oligui Nguema est notre messie car il a changé de régime sans effusion de sang ». C’est sous son égide que les textes de lois devant permettre au CTRI d’œuvrer pour le développement durable, la cohésion sociale et la paix doivent être adoptés par les parlementaires de la Transition, qui ont aussi pour mission de veiller à l’exécution des travaux annoncés par le Gouvernement de Transition.
Présidente du SÉNAT de Transition : Paulette Missambo, co-fondatrice de la plateforme de coalition Alternance 2023, joue un rôle essentiel dans le nouveau régime au pouvoir depuis le 30 août 2023. La désormais ancienne présidente de l’Union nationale, a été de presque tous les gouvernements entre 1990 et 2009 sous Omar Bongo Ondimba, désormais elle a pris les rênes du Sénat, suite au communiqué du Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) du 11 septembre. Elle a pendant ces dernières 14 années été une farouche opposante à l’ancien régime déchu d’Ali Bongo Ondimba. Elle incarne la promotion de la gente féminine dans les plus hautes instances du pouvoir.
Ministre de la Réforme des Institutions :Murielle Minkoue Mezui, Epouse Mintsa-Mi-Owono occupe le poste de Ministre de la Réforme des Institutions depuis la formation du gouvernement de Transition. Auparavant, elle exerçait à la Cour des Comptes en qualité de Magistrat hors hiérarchie, Présidente de Chambre à la Cour des Comptes depuis octobre 2018. Elle a été la cheffe d’orchestre de l’organisation du Dialogue National inclusif qui s’est déroulé brillamment le mois dernier avec près de 1000 participants et 1000 contributions retenues dans le rapport final qui a été remis au Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema. Murielle Minkoue Mezui, Epouse Mintsa-Mi-Owono est Chevalier dans l’Ordre National de l’Etoile Equatoriale, mariée et mère de six (06) enfants.
Gervais Oniane:Nommé récemment Haut-Représentant Personnel du Chef de l’État, Président de la Transition Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema, l’ancien candidat à l’élection présidentielle du 26 août dernier, Gervais Oniane, est une personnalité politique connue des gabonais. Âgé aujourd’hui de 56 ans, il a su gravir les échelons de l’administration gabonaise jusqu’à briguer le fauteuil présidentiel.
Bertrand Zibi :
Depuis 2016, Bertrand ZIBI a su garder la même position après sa démission du PDG devant le Président Ali Bongo à Bolossoville. Cette démission lui a valu la prison pour six longues années.Depuis sa sortie de prison, Bertrand ZIBI s’est présenté à l’élection présidentielle de 2023. Il a organisé 35 causeries politiques dans le Grand Libreville et Kango. Il a dû retirer sa candidature au profit d’une candidature unique d’Alternance 2023.Homme de convictions, Bertrand ZIBI s’est engagé à soutenir les actions du Président de la République sans calcul.Homme de terrain, Bertrand ZIBI s’atèle à faire passer le message du Président dans le but de lui éviter la campagne négative engagée par les détracteurs. Homme social, Bertrand ZIBI reçoit à son lieu de travail des milliers de Gabonais qui pensent trouver en lui une oreille attentive. Son engagement et sa détermination n’ont point d’égal sur le terrain pour accompagner le Président OLIGUI NGUEMA. Son franc parler lui confère une place de choix aux yeux des populations gabonaises.
Mays Mouissi, l’artisan du renouveau économique du Gabon : Mays Mouissi est un spécialiste des questions économiques, Diplômé de l’Université Paris-I Panthéon Sorbonne (France). Il est né à Libreville le 21 octobre 1986 d’une famille modeste et religieuse et a grandi dans les quartiers dits PK’s. Doté d’une expérience riche et auteur de plusieurs études d’analyses socio-économiques, Mays Mouissi a dirigé les travaux de la 5e revue des indicateurs d’intégrité, pour l’organisme américain Global Integrity au Gabon et a produit des travaux pour des multinationales à l’instar de Olam. Il est longtemps intervenu en qualité de support d’aide à la décision auprès de dirigeants d’entreprises, essentiellement au Gabon.Il a une bonne maîtrise du contexte politique et social africain,membre du Think Tank (Re)sources, c’est également un Expert multidisciplinaire qui a co écrit un rapport détaillé intitulé « 105 promesses, 13 réalisations – Le bilan du second septennat d’Ali Bongo Ondimba (2016-2023) ». En effet pendant plusieurs années il n’a pas cessé d’attirer l’attention des membres des anciens gouvernements sur la situation politique, sociale et surtout économique du Gabon. Méticuleux, professionnel et surtout patriote avéré notamment par ses prises de paroles et ses analyses pertinentes, Mays Mouissi a révélé que les gouvernements successifs ont dépensé 30 000 milliards de francs CFA pour n’atteindre qu’une réalisation de 12,38% des promesses faites par le président déchu.
Laurence Ndong :Laurence Ndong est une femme politique, enseignante-chercheuse et pasteure pentecôtiste gabonaise. Ces dernières années elle s’est farouchement opposée à l’ancien régime dont elle dénonçait la mal gouvernance et des manquements criards en matière de développement et d’améliorations des conditions de vie des populations. Elle a vécu plus de 20 ans en France avant de revenir au Gabon après le coup d’État d’août 2023. Militante engagée dans le milieu associatif, elle a notamment présidé l’association « Debout peuple libre » à partir de 2020 afin de défendre la démocratie au Gabon.Elle devient, en 2023, ministre de la Communication et des médias, ainsi que porte-parole du gouvernement de transition instauré par le Président de la République Brice Oligui Nguema.
Jude Ibrahim Rapontchombo :Depuis le mois de septembre 2023, le général de brigade Jude Ibrahim Rapontchombo occupe le poste de Délégué Spécial chargé de la commune de Libreville. Il appartient au corps des bérets rouges . Il a notamment été gouverneur de la place militaire de Libreville , commandant du bataillon militaire gabonais à Bangui en 2016, directeur des opérations à l’état major général des forces armées (EMFGA ), conseiller du ministre de la Défense.
Camélia Ntoutoume-Leclerq :Camélia Ntoutoume est diplômée de l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence où elle obtient deux diplômes, en Ingénierie Politique et en Politique Comparée option Chine. Elle est aussi diplômée de l’Ecole de Communication du CELSA Paris-Sorbonne et de l’Ecole Nationale d’Administration de France en 2010.En Mars 2022, elle est nommée Ministre de l’Education Nationale, chargé de la Formation Civique au cours du mandat du Président Ali Bongo. Le 9 septembre 2023, elle est reconduite par le Comité pour la transition et la restauration des institutions au ministère de l’Éducation Nationale au sein du gouvernement de Raymond Ndong Sima. Ses efforts pour une école gabonaise restaurée, moderne et accessible à tous et à toutes sont fortement saluées par l’ensemble des acteurs du secteur éducatif dont elle a su rassurer et apporter l’accalmie.
Alexandre Awassi :AWASSI Alexandre est Député du Siège unique du 2ème Arrondissement de la Commune de Moanda, dans le Haut-Ogooué au Gabon et désormais député de Transition. Leader jadis du Mouvement politique « Osons Ensemble », Alexandre Awassi est considéré comme un homme politique pondéré de la nouvelle génération, surtout à Moanda où il est un véritable modèle qui veille aux intérêts de la population en s’intéressant aux retombées des activités RSE de la Comilog. Il est notamment à l’initiative des projets de loi contre le harcèlement sexuel en milieu scolaire et relative au statut du personnel domestique au Gabon.
Le Comité pour la Transition et la restauration des institutions est composé d’une douzaine de hauts gradés généraux et Colonels, dont les plus connus et médiatisés sont:-Général de Brigade, Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema, -Général de division Yves Barassouaga, Commandant en chef de la gendarmerie nationale -Effayong-Onong Commandant en Chef de la Sécurité pénitentiaire -Hervé Ngoma, Commandant en chef des Forces de Police Nationale-Commandant en Chef en Second en charge de l’Intérim du Commandant en Chef de la Garde Républicaine , Colonel Antoine BALEKIDRA-Chef d’Etat-Major de la Garde Républicaine :Colonel OYINI Aimé-Vivian.-Colonel Ulrich Manfoumbi Manfoumbi , porte-parole du CTRI, Ministre chargé des missions de la Présidence de la République .
Le CTRI résolument engagé dans l’amélioration des conditions de vie de la jeunesse gabonaise, est soutenu dans la mise en œuvre de sa politique nationale par des jeunes qui en sourdine font un travail exceptionnel, à l’instar de : Ulrich Kessiani, Philippe Arsène Owono, Bitome, Stéphane Nzeng, Andy Nziengui, Landry Amiong Washington,Leonnel Nze Biyoghe.
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