C’est la question qui taraude l’esprit de plusieurs observateurs des pays africains au regard de l’anarchie qui semble plus que jamais s’installer en République Française. Le pays d’Emmanuel Macron, doit-il continuer à accepter des pseudos activistes qui passent leur temps à braver les valeurs républicaines qui sont le fondement même de chaque pays à travers le monde ?
L’histoire de l’activisme montre pourtant qu’il y a eu des personnalités telles que Martin Luther King, Malcolm X, Nelson Mandela, qui ont clairement marqué l’histoire de leur pays par des actes pacifiques et sans braver les valeurs républicaines. Le cas du Gabon à travers l’Afrique est semble-t-il devenu ces dernières années une véritable anarchie qui donne lieu à tout genre d’actes anti- républicains. Mieux, les pseudos activistes résidents en France, ne brillent que par leur capacité de nuisance, d’injures et de diffamations si ce n’est pas se spécialiser dans le chantage auprès des autorités de leur pays. Le cas de l’oiseau Rare a qui la nationalité a été accordée au Gabon est devenu un sujet qui déchaîne les passions, pourtant ces mêmes activistes Gabonais vivant en France et aux États-Unis sollicitent la nationalité de ces pays. Y sont-ils nés ?
Injuriant et diffamant à tout bout de champ les autorités du pays et bravant les valeurs de la République, ces pseudos activistes sont loin d’être de vrais patriotes.Est-ce un droit accordé à un individu en France d’être injurieux et diffamant ? En tant que pays des droits de l’homme et du respect des valeurs de la République, la France ne devrait-elle pas mettre dans une liste de persona non grata ces demandeurs d’asile ou de nationalité qui vont se cacher derrière celle-ci pour continuer leur basse besogne ? Les pseudos activistes Princesse De Souba, Jonas Moulenda, Tâta Huguette, le Phoenix et plusieurs autres pseudos actvistes, ont fait de l’injure et la diffamation vis-à-vis du Gabon et de ses autorité un fond de commerce pour vivre avec des allocations de réfugier ne pouvant et voulant pas travailler dignement comme les autres Gabonais vivant à l’étranger.
Si la nationalité octroyée à Samuel Lee Jackson et Ludacris n’ont pas choqué ces mêmes activistes, il est fort de constater que la seule ambition derrière ce scénario est de discréditer l’action du CTRI qui depuis son avènement donne des sueurs froides aux ennemis de la République. Pour plusieurs observateurs de la vie publique «les gens veulent critiquer Oligui mais sur des sujets sans fondements car sur les réalisations, il a déjà fait énormément».
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