Cela ne fait plus aucun doute, l’identité du sulfureux journaliste de l’union a été démasquée par nos services d’investigation. Celui qui aurait fait de l’amateurisme son cheval de bataille au sein des organes de presse du Gabon n’est autre qu’un immature et anti CTRI caché derrière un titre de « journaliste d’investigation» à l’Union.Abel Eyeghe Ekore, spécialisé désormais dans l’intoxication journalistique est un jeune gabonais qui a toujours apprécié les bars et les boissons très alcoolisées.
Sur ses comptes professionnels, les seules images qui montrent véritablement sa passion sont des images sur lesquelles il expose son amour pour l’alcool. L’alcool, un danger pour le journaliste Ekore: Peu reconnu pour ses talents d’investigation journalistique, «l’ami des immatures» serait lui-même un adepte, un client fidèle des coins où le kongossa domine sur l’actualité véritable.Après 3 mois passés au sein des équipes de Gabon Média Time, certains sources relèvent qu’il aurait été viré pour amateurisme et manque de professionnalisme profond.
Le respect de l’éthique et la déontologie journalistique ne serait pas dans les notions d’apprentissage du «journaliste ivre» .L’homme très proche de l’ancien 1er ministre Alain Claude Billi Bi Nze semble vouloir désormais salir l’image de toutes les personnes proches du Président de la République Gabonaise Brice Clotaire Oligui Nguema sur sa rubrique lue par plusieurs Gabonais et Gabonaise.
Quelle responsabilité pour l’union ?
Ce casting amateur et salissant de l’union révèle les limites des services de recrutement et de la compétence du rédacteur en Chef met en mal la crédibilité du 1er quotidien national autrefois réputé pour son professionnalisme.Pour plusieurs de ses anciens collaborateurs « Abel la gâchette» pourrait détruire l’image d’un innocent pour une enveloppe bien remplie ou quelques bières dans un troqué populaire.Si ces affirmations se confirment par la légèreté de la rubrique dont il est l’auteur dans le quotidien l’union cela remet en question la crédibilité profonde de type d’information que ce média populaire livre aux populations gabonaises par le manque de professionnalisme de certains de ses agents recruté dans des conditions qui restent à êtes déterminées et élucidés.
Au Gabon le mercenariat journaliste semble gagner du terrain et cette gangrène ternie profondément l’image de la corporation qui recevra très bientôt une subvention spéciale des autorités de la transition. Il est plus que j’avais urgent pour la HAC de prendre des mesures drastiques pour mettre fin au phénomène grandissant des « journalistes mercenaires».
Commentaires