Un an après sa nomination, Brice Laccruche Alihanga semble plus que jamais être le directeur de cabinet du chef de l’Etat le plus adulé par le Gabonais depuis bientôt 10 ans. Ali Bongo semble avoir trouvé le profil qu’il fallait à la direction de son cabinet, Brice Laccruche Alihanga (BLA), un laborieux gabonais de 38 ans dont l’action redonne le goût et le rythme à la vision du Président de la République, Ali Bongo Ondimba. Si avec son prédécesseur les Gabonais avaient l’impression d’être coupés de la plus haute institution de la République, l’arrivée de BLA à la présidence de la République semble avoir réconcilié le Palais du bord de mer avec le peuple, l’élite politique et intellectuelle du pays. L’essentiel des opposants, anciens <<ennemis>> jurés du Clan PDG sont passés tous dans la majorité présidentielle en moins de 3 ans. Qui aurait cru en 2016 ? Ce n’est un secret pour personne. Beaucoup de cadre du parti au pouvoir ont quitté le parti d’Omar Bongo non pas parce que sa ligne politique a changé, mais pour dénoncer « l’arrogance et le mépris » du directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba et plusieurs autres collaborateurs de cette époque. L’actuel Dircab ne cesse d’accroître la côte de popularité du président Ali Bongo auprès des populations gabonaises. C’est un homme de terrain. Grâce à ses multiples actions, de nombreux Gabonais peuvent être fiers de leur pays. Notamment les jeunes et les femmes, fer de lance du développement du pays. Les reformes qui visent à améliorer les conditions de vie des populations sont nombreuses depuis plus de 13 mois, qu’accompagne BLA. L’homme ne ménage aucun effort, en vue de la matérialisation de la vision du chef d’Ali Bongo Ondimba. C’est sur instruction du chef de l’Etat que le Directeur du cabinet actuel a auditionné les directeurs des administrations qui posent problème. Il a résolument pris les choses en main. Certaines langues affirment que c’est assurément l’un des hommes les plus sûrs en termes de gestions des deniers publics. Ce qui lui vaut régulièrement les pics des tourneurs en rond et des fossoyeurs de la République. Sous l’impulsion du chef de l’Etat, Brice Laccruche Alihanga a su redonner de la crédibilité à l’action gouvernementale. Les populations recommencent à y croire et Brice Laccruche ne compte pas se relâcher avant que les objectifs d’Ali Bongo Ondimba ne soient atteints. « Tant que les plus fragiles, les moins favorisés seront dans notre pays exposés quotidiennement au risque de chômage, de maladie, de mal logement, de mauvaise éducation, de déclassement social et d’enclavement, il y a aura nécessité de mettre en œuvre de manière urgente, concrète et efficace toute une série de réformes visant à réduire ces maux qui, dans leur ensemble, sont constitutifs d’une fracture sociale », a souligné d’emblée le Dircab dans son plaidoyer en faveur des réformes visant à transformer le Gabon notamment sur le plan social. Contrairement à ses prédécesseurs, Brice Laccruche Alihanga semble avoir reçu l’onction d’une bonne partie du peuple ou plus précisément de la jeunesse qui représente 70% de la population. On peut affirmer sans risque de se tromper qu’il est le directeur de cabinet le plus apprécié du règne d’Ali Bongo. Un reportage vidéo de notre média en fait foi. Au niveau de la gestion des effectifs à la Présidence de la République, certaines sources, laissent entendre que les personnels de la présidence ne ménagent aucun effort aujourd’hui pour remplir leurs différentes missions. Ce qui n’était pas le cas auparavant. « Tout le monde arrive à l’heure aujourd’hui et certaines personnes restent au travail à la présidence jusqu’à 23 heures, selon les urgences. Le directeur de cabinet du président de la République est un homme rigoureux qui exige le meilleur de chacun de ses collaborateurs », indique notre source. Les employés non nécessaires ont été tout simplement remerciés. « Ces derniers étaient des sources de dépenses inutiles pour l’Etat. Nous avons besoin de reformer et de redresser notre économie. Le Gabon doit se développer. Tout franc sorti des caisses de l’Etat doit être justifié », affirme BLA dans un média local. ARTHUR NDONG GABRIEL ]]>
Brice Laccruche Alihanga : un an après au poste de directeur de cabinet d’Ali Bongo
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