Le calvaire est de retour sur les voies de communication départementales de l’Ogooué-Ivindo. Ce n’est vraiment plus évident de circuler paisiblement en véhicule sur les routes de cette partie de l’intérieur du pays Avec l’arrivée des pluies, circuler en véhicule dans la province de l’Ogooué-Ivindo est un vrai parcours du combattant. Les voies de communication départementales ont revêtu leur triste visage de ” routes de misère “. L’érosion causée par les pluies et les eaux de ruissellement a laissé de nombreux sillons, qui sont autant de pièges pour les automobilistes. « Avec ces routes, nous abîmons nos voitures, et les frais de réparation pèsent sur nos comptes d’exploitation et résultats », explique Jean Claude Nguéma, promoteur de l’agence de voyages JC Transport. Le tronçon Ovan-Makokou est clairement déconseillé aux chauffeurs non expérimentés. Les pentes sans recouvrement de latérite constituent un réel danger pour ceux qui s’y aventurent sans véritable expertise de la conduite. Même les chauffeurs expérimentés doivent parfois se faire aider par les passagers. Les automobilistes font de nombreuses heures de route, afin d’éviter d’éventuels accidents, notamment en saison de pluies. La vitesse maximale recommandée excède rarement les 35 kilomètres par heure. Mengue]]>
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