Le candidat du parti démocratique gabonais (PDG), dans le 2e siège du 2e arrondissement de Libreville, Jacques Massala est redescendu sur le terrain depuis quelques jours, dans le cadre du 2e tour des élections législatives. Le candidat est visiblement optimiste et semble avoir opté pour cette seconde manche à une campagne de proximité, donc aux échanges directs avec les électeurs. Un exercice dans lequel Jacques Massala se sent très à l’aise. « Je retourne vers les frères et sœurs. Nous allons discuter et décider ensemble de ce que nous voulons et devons faire pour notre siège. Je m’inscris toujours dans le partage et le soutien au développement. Notre bastion électoral a été longtemps marginalisé et mis au banc du développement. Tout le monde est d’accord pour ne plus laisser prospérer des politiques égoïstes. Je suis candidat pour impulser plus de développement dans le 2e siège et pour ramener la jeunesse au travail et à la responsabilité », a déclaré M. Massala, en marche d’une rencontre avec les électeurs. Le 17 octobre 2018, Jacques Massala a organisé une messe de grâce a l’église Saint Michel de Nkembo, en mémoire des « vaillants soldats du PDG disparus » de sa circonscription électorale. « Il s’est agit d’honorer la mémoire de tous ceux qui ont fait montre de loyauté indéfectible envers le parti au pouvoir », explique le candidat. Ces moments de recueillement ont permis également aux militants PDG du deuxième siège du 2e arrondissement de Libreville de se ressouvenir du combat des militants de première heure disparus il y a quelques années et dont l’engagement politique peut inspirer de nombreux jeunes aujourd’hui. L’homme de Dieu dans son homélie a mis en exergue la sincérité dans les relations humaines et a plaidé pour la transparence dans les interactions. Une manière pour le prélat de dénoncer la duplicité et l’hypocrisie. L’exhortation du curé arrive à point nommé dans un environnement politique où généralement tous les coups bas sont permis. Il reste à espérer que les PDGistes du 2e siège du 2e arrondissement de la commune de Libreville en prendront conscience et joueront franc jeu pour faire gagner leur camarade Jacques Massala. Et disait un militant de base du PDG rencontré le 3 octobre 2018 à Avéa : « Massala doit craindre plus ses camarades du parti que les opposants au régime en place. » RAMA ]]>
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