Le mercredi 15 mai 2019 au ministère des Transports et de la Logistique, Justin Ndoundangoye a devisé avec les différents protagonistes de la crise qui oppose la direction de la société Handling Partner Gabon et ses employés. La médiation conduite par le ministre a débouché sur la réintégration imminente des employés suspendus depuis le mois d’avril.
L’arbitrage supervisé par la tutelle concernant les responsables Handling Partner Gabon et délégués du personnel n’a pas démarré sous de bons auspices. Car aucune partie n’était prête à faire des concessions à l’entame des pourparlers.
Après avoir prêté l’oreille aux différents intervenants et des informations récoltées par son cabinet, le membre du gouvernement a constaté plusieurs anomalies. Notamment, sur le rejet de la demande d’autorisation de licenciement formulée par la direction générale qui n’a pas respecté la procédure du code du travail.
En effet, vu qu’aucun recours n’a été préalablement déposé, ce dernier a invité cette entreprise de s’en tenir à la loi en vigueur. «Par solidarité gouvernementale, je ne permettrai jamais que cette décision, actée par le ministère du travail, soit violée. Vous allez donc vous surpasser pour gérer vos agents autrement que par la perte des emplois», a-t-il fait observer.
« La revendication de vos droits ne vous met pas au même niveau de responsabilités que celui qui vous donne du travail pour vous épanouir ». C’est avec ces propos crus qu’il a rappelé aux travailleurs irrespectueux du respect d’autrui que la justice a été saisie pour atteinte à la vie privée du Directeur Général et du Directeur de Ressources Humaines.
Le cas des personnes suspendues depuis le mois passé ne pourra être résolu qu’à partir du moment où ces derniers vont « co-signé le protocole d’accord avec sa hiérarchie afin que le calme soit retrouvé », a-t-il conclu.
Kaissy Bekale ]]>
L’arbitrage supervisé par la tutelle concernant les responsables Handling Partner Gabon et délégués du personnel n’a pas démarré sous de bons auspices. Car aucune partie n’était prête à faire des concessions à l’entame des pourparlers.
Après avoir prêté l’oreille aux différents intervenants et des informations récoltées par son cabinet, le membre du gouvernement a constaté plusieurs anomalies. Notamment, sur le rejet de la demande d’autorisation de licenciement formulée par la direction générale qui n’a pas respecté la procédure du code du travail.
En effet, vu qu’aucun recours n’a été préalablement déposé, ce dernier a invité cette entreprise de s’en tenir à la loi en vigueur. «Par solidarité gouvernementale, je ne permettrai jamais que cette décision, actée par le ministère du travail, soit violée. Vous allez donc vous surpasser pour gérer vos agents autrement que par la perte des emplois», a-t-il fait observer.
« La revendication de vos droits ne vous met pas au même niveau de responsabilités que celui qui vous donne du travail pour vous épanouir ». C’est avec ces propos crus qu’il a rappelé aux travailleurs irrespectueux du respect d’autrui que la justice a été saisie pour atteinte à la vie privée du Directeur Général et du Directeur de Ressources Humaines.
Le cas des personnes suspendues depuis le mois passé ne pourra être résolu qu’à partir du moment où ces derniers vont « co-signé le protocole d’accord avec sa hiérarchie afin que le calme soit retrouvé », a-t-il conclu.
Kaissy Bekale ]]>
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