Depuis quelques temps une chaîne de solidarité s’est constituée à l’endroit de la jeune Wally âgée de 15 ans, victime de viol survenu la semaine passée. D’après les informations recueillies auprès de certains activistes et d’une des concernées de l’affaire sur les réseaux sociaux, le présumé auteur de cet acte de pédophilie se nommerait Alexis Ndouna. Il y a quelques mois déjà, ce dernier avait été cité dans une affaire similaire d’où le déchaînement des internautes.
En effet, le scandale a été rendu public sur la page Facebook de l’activiste Thibault Adjatys, qui indique que l’histoire se serait déroulée la semaine passée. Grâce à la complicité de trois personnes notamment d’Aude Abiaghe, de sa sœur Amanda Abiaghe qui seraient les stratèges donc les proxénètes dans l’histoire et de Roxanne Nkoghe qui a servi d’appât pour attirer la plaignante vers ce qui sera qualifié plus tard d’acte ignoble.
En plus des témoignages des différents activistes ici et la, la jeune Roxane se serait confiée sur le viol de la petite Wally par Alexis Ndouna. Ce drôle de personnage à la réputation controversée serait encore au cœur d’un scandale sexuel. Selon les faits, Wally est l’une de ses victimes livrées par trois (3) femmes dont l’une serait âgée de 18 ans. Les cerveaux seraient les diaboliques sœurs Abiaghe quoique Roxane aurait quand même joué un rôle majeur dans cette histoire effroyable en allant chercher la victime chez sa mère pour la livrer à ses bourreaux.
Toutefois malgré son implication notons que Roxane est la nièce d’Aude Abiaghe qui l’a elle même livré à Alexis Ndouna quand elle était encore âgée de 13 ans, aujourd’hui Roxane en a 18. Ces faits ont été rapportés par Roxane qui ne cesse de rejeter l’anathème sur ses tantes dont la méchanceté noue la gorge.
Dans des audios publiés par l’activiste Dana Leizza Ma on peut clairement entendre les témoignages que livrent cette jeune Roxane. Si on s’en tient aux faits qui nous sont rapportés, Alexis Ndouna aurait un malin plaisir à se procurer des « jeunettes » par les biais de sœurs Abiaghe qui apparemment seraient à la tête d’un réseau de placement. Tapis dans le noir elles tentent de remettre leur lourd fardeau à cette petite fille entrée à peine à l’âge adulte et qui visiblement serait victime de manipulation, de chantages en tous genres bien que n’étant pas totalement innocente.
A cet effet, Alexis Ndouna serait un récidiviste de par le nombre de scandale qu’il traine derrière lui. Considéré comme criminel sexuel, il serait selon certains à l’origine de délits sexuels sur mineur. Si des sources proches du dossier affirment qu’Aude Abiague et Roxanne Nkoghe ont été interpellées par les autorités compétentes, le principal concerné serait encore dans la nature.
L’accusé natif de la province du Haut-Ogooué bénéficiera de la protection que lui confère son appartenance aux hautes sphères politiques du pays. Selon certaines indiscrétions ce dernier userait de toute son influence à l’heure actuelle afin d’éviter un séjour tout frais payé à sans famille.
Certains membres du PDG ont clairement fustigé ce comportement ignoble, il s’agit de Chadi Moukarim et de Gabin Yalanzèle qui arboraient fièrement leur soutien au chef de l’Etat tout en critiquant le geste d’Alexis Ndouna . Un message fort qui peut être interprété de plusieurs façons.
Les membres de la société civile précisément du Réseau des organisations libres de la société civile pour la bonne gouvernance (Rolbg), présidé par Georges Mpaga sont également montés au créneau.
« L’inaction ou l’immobilisme du gouvernement est la preuve de la protection dont bénéficie ce criminel sexuel au sommet de l’Etat du fait de son appartenance au PDG et de sa proximité à la famille présidentielle », s’est-t-il indigné dans le communiqué de presse rendu publique le lundi 14 octobre 2019 qui estime clairement qu’il y a comme une justice à deux vitesses en République gabonaise.
De plus, il se dit déjà depuis l’éclatement de cette affaire sur la place publique, l’entourage du concerné ferait des offres juteuses d’argent à la famille de la jeune fille afin qu’elle cesse toute poursuites judiciaires entravant ainsi l’enquête qui serait sur le point d’être lancée à l’endroit de l’ancien directeur administrateur financier de l’Agence nationale des parcs nationaux.
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