Une jeune gabonaise a récemment été assassiné sauvagement de 9 coups de couteaux dans la nuit de mercredi à jeudi dernier au quartier rond point de la démocratie. Agressée aux couteaux par un individu ou des individus jusque-là toujours non identifiés que l’on annonce avoir été interpellé, la jeune femme laisse derrière elle son fils de 2 ans et une famille inconsolable au point que sa mère ait failli passer de la vie à trépas à cause d’une hausse brusque de tension (23) après l’annonce du décès de sa fille, Jessica Marcy Okome.
Cette soirée-là, Jessica ne s’imaginait pas qu’elle perdrait la vie en rentrant à la cité de la démocratie plus que en tentant de résister à ses ravisseurs dit-on, ce dernier ou ces derniers lui auraient poignardé à 9 reprises sans aucune chance de la laisser en vie avec pour seul but de la dépouiller. Si certains médias jettent d’ores et déjà l’anathème sur les détenus libérés récemment suite à la grâce présidentielle accordée par le Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema, rien jusqu’à présent ne permet d’en établir un lien.
Au contraire, cet assassinat devrait plutôt interroger sur la nécessité de renforcer les patrouilles de nuit de la police de proximité dans les quartiers populaires et réputés dangereux à une certaine heure de la nuit. C’est d’ailleurs ce que réclament les habitants du Grand-Libreville aux militaires au pouvoir afin de se sentir en sécurité et de pouvoir vaquer librement à leurs occupations.
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