Après la diffusion de vidéos de sextapes qui impliquent Baltasar Ebang Engonga, haut cadre de l’administration et des femmes activement sexuelles, la présidence Equato-Guinéenne a décidé de faire le ménage. En effet, dans les 400 vidéos sextapes qui circulent quotidiennement, plus de deux cent auraient été tournées par sieur Baltasar dans son bureau de fonctionnaire.
Un fait inadmissible pour la présidence Équato-guinéenne.Sur son compte X (tweeter), le vice – président de la Guinée Équatoriale Teodoro Nguema Obiang Mangue a écrit : «Aujourd’hui, nous allons procéder à la suspension immédiate de tous les fonctionnaires qui ont eu des relations sexuelles dans les bureaux des ministères du pays. Le gouvernement prendra des mesures sévères contre ces actes, car ils constituent une violation flagrante du Code de conduite et de la loi sur l’éthique publique. Cette action constitue une étape décisive dans notre politique de tolérance zéro envers les comportements portant atteinte à l’intégrité de la fonction publique».
Il ajoute également que, «l’éthique et le respect sont fondamentaux dans notre administration, et nous ne permettrons pas qu’un comportement irresponsable compromette la confiance des citoyens. La responsabilité et le professionnalisme doivent être les piliers de notre travail en tant que serviteurs de l’État».Dans cette affaire qui secoue l’État de Guinée Équatoriale, où certaines informations font état de vidéos des femmes de ministres, de directeurs généraux et autres cadres du pays, certains s’interrogent si la victime ne serait pas plutôt Baltasar qui au regard des images, montre bien que ces femmes étaient toutes consentantes.
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