Alors que le président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba était récemment dans le Haut-Ogooué pour donner le coup d’envoie du rendez-vous sportif de ce mois de septembre qui est le Run in Masuku, il est déclaré absent de la scène politique par un média français réputé dans la calomnie et la diffamation, en vue de son absence aux obsèques de Jacques Chirac.
C’est la chaîne BFMTV qui n’est plus à présenter tant les scandales ont fait la réputation de ce média qui a déclaré, le président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba absent de la vie politique gabonaise. L’ingérence dont fait montre certains médias occidentaux nous fait réaliser que le Gabon n’est pas à l’abri de rumeurs folles qui pourraient susciter la psychose chez les citoyens gabonais en quête de développement et non spéculations dépourvues de bon sens.
Faut-il rappeler qu’Ali Bongo Ondimba par ailleurs Président du Conseil supérieur de la Magistrature a acté mardi 24 septembre 2019 à Libreville dans une cérémonie solennelle, le serment des neufs membres de la Cour constitutionnelle ? C’est en sa qualité de Chef de l’Etat qu’il a félicité ces derniers. « Je vous adresse mes chaleureuses félicitations et je vous renvoie à l’exercice de vos fonctions », a déclaré le numéro un gabonais, clôturant la cérémonie de prestation de serment.
De ce fait nul ne saisi réellement le but des propos mensongers de la chaîne BFMTV qui semble-t-il n’est pas au fait de ce qui se passe au Gabon quand on sait que la crédibilité d’un média passe par sa capacité à donner des informations fondées et avérées, ce qui visiblement n’est pas l’apanage de la chaîne française.
Depuis déjà plusieurs années, ou même depuis la nuit des temps, c’est un Gabon morose qui est décrit par la presse internationale. Des articles subjectifs sont publiés à des fins peu louables. La calomnie et la diffamation se sont érigées en dame inspiration pour ces journalistes d’outre mère qui peignent généralement un pays sans foi ni loi, parsemé de terreur et d’injustice. Les bonnes actions sont devenues rares, le climat est tendu. Juste de quoi effrayer l’opinion internationale et plomber, dans une mesure, le secteur tourisme.
Il se trouve que même les correspondants sont assujettis à cette ligne éditoriale chaotique qui a pour objectif de toujours susciter la confusion chez les lecteurs. Les médias de l’Occident pousse l’histoire d’un Gabon dépendant qui continue d’avoir besoin de l’aide, mais la réalité du pays montre que les gabonais gagneraient à profiter de l’échange international.
Ces médias devraient essayer de traiter des sujets susceptibles d’apporter une valeur ajoutée à l’essor du Gabon au lieu de continuer à enfermer le pays dans cette case étriquée de l’aide étrangère, de la pauvreté, des maladies, des dictateurs criminels, de la famine etc…
En résumé, le président de la République qui est récemment rentré du Haut-Ogooué est présentement sur Libreville ou il va continuer à tenir son agenda souvent très chargé.
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