Dans le cadre de leurs efforts fournis dans le processus de conservation des écosystèmes naturels de leur pays respectif, les représentants de trois pays ont eu à porter, dans le cadre de la COP15, leurs préoccupations financières à l’endroit des pays dits grands pollueurs de la planète.
La quinzième réunion de la Conférence des Parties (COP 15) à la Convention sur la diversité biologique (CDB), avait été l’occasion pour l’Afrique, le Brésil et l’Inde, Soutenus par la Chine, de lancer un message fort aux pays développés, celui d’investir pour la préservation de la biodiversité à hauteur de 100 milliards de dollars par an. Un montant qui devrait atteindre la hauteur de 700 milliards de dollars à l’horizon 2030.
Les pays moins pollueurs, tels que le Gabon, le Congo, la Centrafrique, avaient demandé à combler leur “déficit de financement de la nature”. Le Chef de l’État Ali BONGO ONDIMBA avait à Paris, attiré l’attention de l’ensemble des dirigeants du Monde sur le qualificatif de ”mauvais élèves”, pour montrer la passivité des pays à s’engager de façon efficiente dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Herton-séna OMOUNGOU
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