La Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) a organisé à l’auditorium du ministère du pétrole et des hydrocarbures, un atelier national de validation multisectoriel dans le cadre de la création d’un organisme des bassins transfrontaliers.
La cérémonie d’ouverture a été ponctuée par l’allocution du mot de bienvenue du représentant du Secrétaire général de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC), Désiré Demazagoa Bakotta, et le discours du Représentant du Ministre gabonais en charge de l’Eau, de l’Energie, de la valorisation et de l’industrialisation des ressources minières, Hamidou Ousmane.
Le représentant du Secrétaire général de la CEEAC, Hamidou Ousmane, a insisté sur la nécessité de relever les défis qui se posent à la gestion intégrée des ressources en eau et sur l’importance d’une meilleure gestion partagée. Les défis de la CEEAC sont de plusieurs ordres, à savoir : la connaissance et la gestion des ressources en eau, la gouvernance des ressources en eau, la mise en valeur des ressources en eau pour le développement économique, et le financement du secteur eau.
Au Gabon, 4 bassins transfrontaliers font l’objet d’étude à la création du nouvel organisme transfrontalier. Notamment, l’Ogooué, le Ntem, la Nyanga, et le Komo. Le Secrétaire général adjoint du ministère de l’Eau, de l’Energie, de la valorisation et de l’industrialisation des ressources minières, s’est félicité de l’initiative de la CEEAC qui est à la base du projet.
La CEEAC comprend onze Etats membres : L’Angola, le Burundi, le Cameroun, Le Gabon, le Centrafrique, le Congo, le Congo Démocratique, la Guinée Equatoriale, le Tchad, le Sao Tomé et Principe, le Rwanda. L’atelier de création d’un organisme de bassins transfrontaliers initié par la CEEAC a débuté le 16 mai à Libreville et s’achève le vendredi 17 de ce mois.
AIL
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