L’élection des nouveaux membres du Conseil Economique Social et Environnemental (CESE) déroulée le 23 juin dernier, a été marquée par le retour en force des membres des associations et Ong appartenant à la plateforme du Réseau des Organisations de la Société Civile pour l’Economie Verte en Afrique Centrale (ROSCEVAC) dans l’arène politico-administrative. Au nombre des nouveaux membres de la nouvelle mandature du CESE de la plateforme du ROSECEVAC, figurent Nicaise Moulombi président de l’ODDIG, Yvon Martial Ntzantzi Miyagou de l’Association Nationale des Thérapeutes du Gabon et Mesmin Mondjo Ependi de Croisssance Saine Environnement notamment qui effectuent leur retour au sein de la plus vieille institution du pays, souligne GabonInitiatives.com. Dans la nouvelle mandature du CESE, la plateforme du ROSCEVAC sera représentée avec un peu plus de 20 membres qui vont s’atteler à défendre les intérêts de leurs organisations respectives. A cet effet, la question environnementale arrive nécessairement à pic. Car, logiquement, la vice-présidence devrait en principe échoir au secteur du développement durable. Lors de la mandature précédente, les syndicats ayant fagocité le bureau sortant, toute chose qui pourrait profiter au patronat et aux associations si l’on en croit la mauvaise gestion caractérisée, observée et dénoncée dans l’ancien bureau. Une piste qui pourrait certainement intéressée l’opération mamba. Le CESE est constitué des organisations syndicales des employeurs, des représentants des salariés et de confessions religieuses, Ong et associations. Le CESE est une institution constitutionnelle. Créé il y a plus de 60ans, il est présidé par René Ndémézo’o Obiang et compte 99 membres dont le rôle consiste à émettre des avis au gouvernement. RAMA]]>
CESE : le ROSCEVAC bien représenté
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