Les faits ont lieu au village Mboukou, à quelques kilomètres de Mouila, la capitale de la province de la Ngounie. Christian Ogombano, un compatriote gabonais de 41 ans, un professionnel de la mécanicien s’est rendu auteur d’un viol à l’encontre M.B., une dame âgée de 75 ans.
En effet, selon les dernières informations recueillies auprès de notre confrère l’Union, Christian a été écroué à la prison centrale de Mouila, après une plainte de la victime.
Une affaire sordide qui vient s’ajouter au tableau des faits divers en rapport aux mœurs, notamment au sexe. Une tendance au viol en net évolution dans la société gabonaise. La particularité de cette affaire se trouve dans ce que, souvent orienté vers les jeunes filles, les gens sont surpris de ce qu’un jeune d’une quarantaine ait pensé satisfaire sa libido sur une vieille dame d’un âge aussi avancé.
Il n’y a pas un jour en effet, sans qu’une affaire judiciaire de nature sexuelle perturbe la tranquillité des Gabonais. Dans ce sens, il y a quelques jours, du côté de Port-Gentil, les Gabonais ont assisté gênés à une histoire de viol de sa fille par son père, avec la complicité de sa propre mère, dans la chambre parentale.
Alors du côté de Lambaréné, nous assistions à un viol collectif par trois homme d’une mineure séropositive. Une dernière affaire qui a fait le tour des journaux et réseaux sociaux.
Si ce n’est toujours pas le cas, la majorité de ces actes de viols se sont souvent déroulés à la suite de la consommation d’alcools ou de drogues par leurs auteurs. Ce qui a eu pour conséquence que ces auteurs ont souvent tous reconnu les faits qui leur avaient été reprochés. C’est le cas à la fois dans le cas du viol de la jeune fille par son père à Port-Gentil et du viol collectif de la mineure séropositive de Lambaréné.
De nos jours, alors que l’État doit renforcer les dispositifs de lutte contre la consommation de drogues, les filles et aujourd’hui les dames âgées, sont appelées à doubler de vigilence dans leurs rapports avec certains de leurs courtisans.
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