Albert Ondo Ossa a récemment pris la parole au cours d’une allocation afin de tirer à pétards mouillés sur les mesures fortes et courageuses entreprises par le Chef de l’État Brice Clotaire Oligui et le CTRI depuis le Coup de libération du 30 août 2023. Tandis qu’il réclame toujours une victoire à l’élection présidentielle où il n’a jamais été déclaré vainqueur, Albert Ondo Ossa a cru bon de s’attaquer au rachat d’Assala Gabon par l’État.
Désormais en proie à une grande frustration et en manque de crédibilité, disqualifié d’une prochaine présidentielle grâce à l’adoption définitive de la Nouvelle Constitution, l’ancien candidat à la présidentielle de 2023 tente de faire croire au peuple gabonais que le rachat d’Assala Energy est finalement une mauvaise décision. Affirmant que ce rachat n’aura fait qu’augmenter la dette du Gabon et que le pays devrait s’attendre à un chaos économique. Pourtant, c’est le même homme qui, en 2006, avait prédit une cessation de paiement imminente, semant la panique générale au sein de l’administration publique et privée. Une prédiction qui s’est avérée fausse. Assala Gabon, c’est la souveraineté économique retrouvée. Grâce à cette acquisition, le Gabon devient, pour la première fois depuis des décennies, maître d’une part significative de ses ressources pétrolières.
Passer de 52 000 barils par jour à 56 000 en quelques mois montre déjà les bénéfices d’un tel choix stratégique sous l’impulsion d’Oligui Nguema et le CTRI.Salaires payés, bourses distribuées, rappels des retraités et fonctionnaires honorés, infrastructures en construction, et un eurobond (193 milliards de FCFA) remboursé à des taux avantageux, de nombreux observateurs s’interrogent donc sur cette nouvelle sortie du professeur agrégé.
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