La journée Mondiale des forêts a été récemment célébrée en début de semaine à l’échelle planétaire avec pour thème ”Les forêts et une production et une consommation durables”. Une préoccupation majeure qui vient mettre en lumière les efforts d’investissements consentis par plusieurs entreprises dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, si chère au Président de la République, Chef de l’État Ali BONGO ONDIMBA.
La forêt gabonaise qui recouvre plus de 85% de l’ensemble du territoire national, participe aux enjeux liés au développement de l’agriculture, la diversité économique tout en étant un acteur primordial de la sauvegarde de la biodiversité de notre pays.
Dans cette optique, depuis 2010, Olam a su s’arrimer aux standards mondiaux en terme d’études d’impact, précisément aux normes de Hautes Valeurs de Conservation (HVC) et des Hauts stocks de Carbone (HCS). Olam a d’ailleurs pu obtenir les certifications de la norme de développement durable pour le palmier à huile (RSPO) et la norme ISO pour l’hévéa.
L’entreprise met en avant la protection des grands espaces au sein des forêts où elle est présente. Grâce à ses efforts, Olam a planté 74 000 hectares de palmiers et d’hévéas sur des zones dégradées, et plus de 120 000 hectares de zones à forte valeur ont été protégées du braconnage et des activités illégales sur 7 sites au Gabon.
En matière de palmiers à huile, le Gabon dispose de la plus grande surface reconnue HVC et dispose d’une grande surface protégée, qui excède parfois la taille de certains parcs nationaux. La création de corridors est un élément qui participe à l’équilibre écologique, et d’éviter la fragmentation des habitats, source d’appauvrissement floristique et faunique.
Le département Développement Durable du groupe Olam au Gabon, coordonnant le programme de protection et de conservation, a déjà pu employer une cinquantaine de jeunes Gabonais des deux sexes pour la surveillance et le monitoring des zones conservées.
Dix ans après la création des plantations, les forêts protégées sont l’habitat de nombreux grands singes (gorilles et chimpanzés), d’éléphants, de panthères, de crocodiles ou encore d’hippopotames. La création de plantations employant plus de 10 000 personnes tout en prenant en compte l’environnement et les populations locales, permet d’allier le développement économique et la conservation. Alors que nous célébrons cette semaine la journée mondiale des forêts, il est important de mettre en avant ces initiatives qui permettent de porter une attention particulière et quotidienne à l’intégrité de nos écosystèmes forestiers et savanicoles, sans lesquelles nous ne serions rien.
Herton-Sena OMOUNGOU avec Com. Olam
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