Au moment où plusieurs médias nationaux font état d’impayés de la part de l’État gabonais vis-à-vis de la Banque mondiale depuis ce mercredi 3 juillet, une source très proche du dossier vient d’apporter des explications claires et précises concernant cette information. Selon ladite source, le Trésor public gabonais a procédé au versement de 3608741,33 de dollars auprès de la BEAC pour régler la Banque mondiale. Le Gabon a bel et bien honoré l’échéance de paiement de sa dette auprès de la Banque mondiale.
Juste que compte tenu des aléas administratifs, l’argent déjà transféré sera disponible au plus tard le 5 juillet sur le compte de la Banque mondiale.Que se passe-t-il donc au point qu’après l’acquisition d’Assala Energy par l’État gabonais, celui-ci fait désormais face à un acharnement pernicieux savamment orchestré par des détracteurs du développement du Gabon ? Pourtant, c’est tout le peuple gabonais qui exulte et remercie le Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema pour cette prouesse qui fait désormais du Gabon le deuxième producteur de son pétrole.
Un fait inédit depuis le Boom pétrolier jusqu’à récemment, où seules les entreprises étrangères avaient réussi à imposer leur dictat sur le secteur pétrolier dans notre pays. Le Président de la Transition, Président de la République Gabonaise, Brice Clotaire Oligui Nguema a fait de la réappropriation de la souveraineté nationale économique son véritable cheval de bataille. La restauration de la dignité du peuple gabonais et du Gabon en dépend, voire la survie même des populations gabonaises. Avec le rachat d’Assala, le Gabon va désormais produire lui-même plus de 25% de son pétrole.
«En ayant réussi le rachat d’ASSALA: c’est la première fois depuis qu’on exploite le pétrole du Gabon que notre pays contrôle directement plus de 25% sa production.Je fais ces rappels sur l’achat D’ASSALA juste pour nous inviter à nous attendre à tout entendre. En rachetant,nous avons touché à un élément clé des grands lobbies», a réagi Geoffroy Foumboula Libeka Makosso, Député de la Transition.
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