En effet, c’est aux premières lueurs de cette journée du 27 mars que le corps sans vie et suspendu à un arbre de la jeune Sandrielle a été découvert au quartier Ongali.
Cette mort par pendaison selon les premières constatations d’un médecin de l’hôpital AMISSA BONGO de Franceville a estomaqué les riverains et autres habitants du quartier qui connaissaient la jeune suicidée.
Selon certains témoignages recueillis sur la scène de la macabre découverte, « cette jeune fille était calme et c’est vraiment triste qu’elle ait décidé de mettre un terme à sa vie .»
Selon l’adjoint au procureur de la république dépêché sur les lieux, « les signes de la mort par pendaison sont présents. Cependant une enquête est ouverte par la PJ car le téléphone y a été retrouvé dans son sac à main, elle était sortie la veille et le dernier appel téléphonique avec sa mère remonte au 26 mars à 10h ».
Cette énième tragédie rappelle celle d’un journaliste émérite de Radio Gabon qui, dépassé par les difficultés sociales avait jugé mieux de mettre fin à ces jours et ce par pendaison.
La récurrence de tels actes doit interpeller les pouvoir publics car ce phénomène ne cesse de prendre de l’ampleur dans notre société.
CNA
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