La diffusion d’informations mensongères au Gabon est pourtant sévèrement punie par la loi de 5 ans d’emprisonnement au maximum. Mais malgré cette disposition, de nombreux compatriotes ne cessent de colporter des informations non vérifiées ni avérées, qu’ils exposent sur la toile sans tenir compte des conséquences que cela pourraient engendrer.
Le cas Stempy OBAME doit plus que jamais être une véritable leçon à tirer. En effet, dans une récente vidéo, cet ancien présentateur télévision reconverti semble-t-il désormais en activiste, a indiqué qu’un «plan machiavélique » serait en ce pour déstabiliser le Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema. Un plan orchestre par celle qui a décidé de nommer «ngoulou 2». Pour celui-ci, un groupuscule de proches collaborateurs du Chef de l’État aurait récemment tenu une réunion dans un hôtel de la place.«Brice ne verra pas le coup venir, on lui fera ça derrière son dos comme il ne lit pas les communiqués finaux des conseils des ministres. Il ne lit pas les nominations, nous allons nommé quelq’un d’autre à la place de son petit frère…», aurait déclaré «ngoulou2».
Désormais entre les mains de la DGR, Stempy OBAME a reconnu avoir menti sur la base d’informations non vérifiées et demande pardon au Président de la République. Une situation qui doit plus que jamais interpeller les uns et les autres concernant la diffusion d’informations mensongères sur la toile destinée à porter atteinte à l’ honorabilité de X ou Y personne.
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