Mays Mouissi, Ministre de l’économie et des participations est à juste titre considéré depuis sa nomination comme le bras séculier du CTRI en matière de finances. L’homme incarne à la perfection le défi du Gabon en matière de croissance économique. En effet, malgré les nombreux efforts déployés par le Centre des Technologies et de la Recherche Industrielle (CTRI) pour stimuler l’économie du pays, certaines lacunes persistent.
Tout d’abord, la dépendance excessive du Gabon vis-à-vis des revenus pétroliers constitue un frein majeur à sa croissance économique. En effet, le pays est vulnérable aux fluctuations du marché pétrolier, ce qui rend difficile la planification à long terme de ses politiques économiques. De plus, cette dépendance accentue les inégalités sociales, puisque les bénéfices de l’industrie pétrolière ne sont pas toujours redistribués de manière équitable parmi la population.Par ailleurs, le manque de diversification de l’économie gabonaise constitue un autre défaut majeur. En effet, le pays reste largement dépendant du secteur pétrolier, au détriment d’autres secteurs tels que l’agriculture, le tourisme ou l’industrie.
Cette situation fragilise l’économie gabonaise, en limitant sa capacité à créer de nouveaux emplois et à stimuler la croissance à long terme.Malgré ces défauts, Mays Mouissi, suivant les très hautes instructions du Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema, a mis en place des réformes ambitieuses visant à diversifier l’économie gabonaise et à réduire sa dépendance par rapport au pétrole. Par exemple, des mesures ont été prises pour encourager l’investissement dans des secteurs non pétroliers, tels que les énergies renouvelables, l’agriculture, la création des entreprises, et bien d’autres. De plus, des programmes de protection sociale ont été mis en place pour réduire les inégalités et favoriser une croissance plus inclusive.En conclusion, le CTRI est déterminé à relever les défis qui se présentent.
Grâce à une approche innovante et des réformes audacieuses, le Gabon pourrait surmonter ses défauts et réaliser son potentiel de croissance économique. Le pays a su jusqu’à ce jour respecter ses engagements financiers à l’international et sur le plan national en procédant au paiement d’une veste partie de sa dette. Le Gabon réalise également des recettes hors pétrole bien au-dessus des attentes ces derniers mois.
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