La désarticulation de l’enseignement scolaire, la démission des parents dans l’éducation de leurs progénitures, le relâchement des mœurs, constituent une menace évidente pour la valeur éducative de la jeunesse au Gabon, et favorise chaque jour un peu plus, la dépravation des mœurs en milieu scolaire. Souvent indexés dans des pratiques illicites, vols, consommation de drogues et braquages, la jeunesse gabonaise semble davantage s’égarer. De plus en plus d’élèves issus des établissements scolaires de la place, s’adonnent désormais à une nouvelle pratique : Des rapports sexuels collectifs, destinés à déterminé le temps d’éjaculation. C’est le cas de cette affaire de partouze au Lycée Paul Indjendjet Gondjout, qui a défrayé la chronique quelques semaines auparavant à Libreville. Une mère de famille aurait en effet, retrouvé sa fille dans une maison inachevée en plein ébat sexuel avec d’autres de ses camarades. Des scènes similaires qui avec le temps semblent se multiplier dans le pays, créant ainsi un effet de mode adopté par les jeunes. Une situation qui tend à favoriser la perte des valeurs dans la cité, et dont les textes musicaux de certains artistes gabonais contribuent à amplifier le phénomène souvent décrié. Daisy ]]>
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