C’est la question se posent de nombreux gabonais au regard de l’accentuation de la cabale médiatique sur les réseaux sociaux orchestrée par le pseudo activiste Jonas Moulenda à l’encontre des autorités de la Transition. Le président d’un prétendu parti politique éphémère et sans reconnaissance légale, semble être devenu l’avocat des personnes qu’il a lui-même exposé et dont il a accusé de vouloir sa mort. Les sages au village ne disent-ils pas qu’il est dangereux que le chien cesse d’aboyer sur son persécuteur d’hier ?
Au moment la Transition au Gabon conduite par Brice Clotaire Oligui Nguema engrange chaque mois des succès et jouit d’une reconnaissance légitime et populaire même à l’international, le pseudo activiste a décidé de fermer les yeux et s’attaquer à la République. En effet, en tentant de défendre l’ indéfendable dans l’affaire Hervé Patrick Opiangah, toujours recherché par la justice gabonaise, Jonas Moulenda semble avoir perdu la mémoire. Il y a quelques années en arrière, ce même Jonas Moulenda a pourtant fait état d’une légion d’accusations à l’endroit de son «client» d’aujourd’hui. Reconnaissant en ce temps-là, les accusations portées à son encontre aujourd’hui.
Pourquoi avoir retourné sa veste en faveur de celui qu’il a accusé hier d’avoir une «relation incestueuse» avec sa fille et d’avoir «assassiné les gabonais »?La raison est toute trouvée selon plusieurs compatriotes, le pseudo activiste aurait perçu une enveloppe suffisamment conséquente pour brader et ravaler son propre vomi. Dans tous les cas, vivre au crochet du plus offrant pour salir l’image des personnalités de la République, n’est-ce pas à celà que s’adonnent de nombreux pseudos activistes ?
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