Le récent conseil des ministres présidé par le Chef d’État Gabonais Brice Clotaire Oligui Nguema n’a pas fini de faire couler beaucoup d’encre et de salive en matière de nominations. En effet, certaines nominations depuis lors sont désavouées par plusieurs patriotes et activistes gabonais qui dénoncent des promotions copains copines pourtant tant décriées dans l’ancien régime.
En effet, il s’avère que les nominations de Parfait Eyi et Cyrille Ndong, ne passent pas au sein de la population gabonaise qui ne comprend pas pourquoi ces nominations de copinages semblent s’éterniser au point qu’on y voit à ces dernières la volonté de mettre en mal la Transition conduite par le Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema. Ces nominations sont attribuées à Laurence Ndong, ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement, qui occupait jusqu’à récemment le poste de Ministre des Nouvelles Technologies de l’information et de la communication.
En effet, selon plusieurs internautes, l’activiste Parfait EYI, que l’on dit proche de cette dernière, nommé Directeur Adjoint de l’ ARCEP, n’a nullement les compétences requises pour ce poste. D’ailleurs, il est accusé d’avoir proféré des injures publics à l’endroit d’un haut dignitaire de la République qui n’est autre que Jean Ping. Cette nomination irait donc en totale violation de l’article 44 de la Charte de la Transition. S’agissant de la nomination de Cyrille Ndong au poste de DGA du SPIN, celui-ci n’est autre que le mari dit-on de la ministre. Il s’agirait donc là de deux nominations actées tandis qu’elle était encore aux commandes du département numérique de son portefeuille ministériel jadis.
Le membre du gouvernement aurait-elle estimé que seul son mari est capable d’occuper cette fonction, qu’il était ainsi vital de le faire revenir au pays? Le copinage dans les nominations a longtemps été décrié par les populations gabonaises, dont de nombreux compatriotes détiennent bel et bien les capacités d’occuper des postes dans la haute administration publique du pays. De nombreuses voix s’élèvent donc et appellent soit à leur démission, soit à leur limogeage jugeant ces nominations fallacieuses et inopportunes.
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