Les pangolins sont inscrits sur la liste des espèces intégralement protégées. Il est donc interdit de tuer, capturer, transporter, manger, vendre ou de garder en captivité ces animaux ou des morceaux (écailles, viande, peau, etc.). Au Gabon, il en est donc ainsi. Et c’est une situation qui donne bien raison aux décideurs dans la mesure où en 2020, dans le cadre de la Recherche une équipe de scientifiques de l’ANPN a capturé quelques pangolins.
Il s’agissait notamment de :-Un Pangolin mâle de 1,72m et 38kg. Là où les caractéristiques normales sont 1,40m et 30kg. Record.-Une femelle de 1,59m et 33kg bien loin des caractéristiques normales. Record.Pour nombreux il s’agit notamment de découvertes figurants parmi les plus impressionnants de ces dernières années à travers le monde pour cet espèce animale. Un indicateur important qui permet de justifier la nécessité de préserver la forêt gabonaise pour les générations futures mais également pour maintenir le renouvellement de l’espèce qui aujourd’hui est très menacée par le braconnage.
La chair et les écailles de cette espèce protégée, très prisées en Asie, en font une proie recherchée pour les braconniers.Cet animal est l’objet d’un braconnage important. Les écailles du pangolin auraient en effet des vertus médicinales selon la médecine traditionnelle chinoise. Réduites en poudre, elles permettraient d’améliorer la lactation chez les femmes qui allaitent, de fluidifier la circulation sanguine ou encore de soigner les inflammations.
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