Un jeune homme poignarde le frère de sa petite amie à Bitam, le 17 septembre courant. Pour cause une altercation avec la victime a poussé le mis en cause à utiliser une arme blanche en lui infligeant des coups de poignard violents. Ce qui a conduit la victime à une fin tragique en succombant à ses blessures.
Pas de chance pour Charlie Zogho Assoumou. Ce trentenaire, s’est fait assassiner par son beau-frère, petit ami de sa sœur au quartier Akué-Essimengane à Bitam. La tragique histoire qui s’est déroulée le 17 septembre 2019 a été la suite d’une violente dispute avec le présumé assassin. Grosse perte pour la famille du défunt, surtout la sœur qui s’est vue brusquement privée de son frère par son petit ami.
En effet, un destin tragique pour la victime Charlie Zogho Assoumou. Selon « L’Union », une simple bagarre a viré au drame. Ce dernier s’est produit après que les deux beaux-frères suite à une violente dispute eurent décidé d’en venir aux mains. Le petit ami de la sœur cadette de la victime décide alors de se munir d’une arme blanche. Toujours dans le feu de l’action, Charlie, ne voulant pas se laisser intimider par son beau-frère continue la bagarre en faisant fi du poignard de son agresseur et des complices de celui-ci venus en renfort.
Malheureusement pour le trentenaire, ses adversaires étant très nombreux, il a reçu plusieurs coups de poignards occasionnant ainsi des graves blessures qui lui ont été fatales.
Saisis par les populations, les autorités de Bitam se sont mobilisées. Lesquelles ont mis la main sur le présumé assassin et ses complices.
Bien que les auteurs soient actuellement entre les mains de la gendarmerie de Bitam, les populations de cette commune sont plongées dans une grande tristesse et continuent de se demander ce qui aurait réellement poussé un monsieur à ôter la vie de son beau-frère. Toujours est-il que les identités des membres de la bande assassine n’ont pas encore été révélées. Pour l’heure, les causes de cette bagarre relèvent du mystère.
« Les circonstances exactes de cette agression mortelle ne sont pas encore connues » d’après le quotidien. Dans l’espoir que de fortes investigations soient faites pour déceler le vrai du faux, le quartier Akué-Essimengane du « State » a du mal à retrouver sa quiétude. Vivement que justice soit faite et que cette histoire trouve son épilogue.
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