Depuis son arrivée à la tête de l’un des départements ministériels les plus sensibles et difficiles à gérer dans notre pays, à cause notamment du nombre important des fonctionnaires que celui-ci regorge, Camelia Ntoutoume-Leclerq est arrivée à ramener une véritable accalmie où certains de ses prédécesseurs ont creusé les méninges sans grande réussite.
En effet, dès sa nomination à ce poste, Camelia Ntoutoume-Leclerq a tout de suite instauré un cadre d’échanges avec l’ensemble des partenaires sociaux et autres syndicats afin d’établir les modalités du contrat de confiance et d’efforts mutuels à mettre en place afin de trouver des solutions adaptées aux nombreuses préoccupations légitimes des agents. C’est pourquoi, sur les très hautes instructions du Chef de l’État, en 2022, plus 3400 enseignants ont été intégrés. Mais contre toute attente, aucun syndicat ne s’est exprimé à ce sujet.
Au sujet des infrastructures, le nombre de places disponibles, de nouveaux établissements et autres ne font que s’accroître sur l’ensemble du territoire national. Et pour s’en assurer, la ministre est plus sur le terrain que dans son bureau afin de visiter les chantiers en cours et ceux en phase de démarrage. Accusée par l’on ignore qui, de ne pas respecter quels textes on ne sait, l’on se demande plutôt si ce n’est pas le fait de voir la ministre réussir où nombreux ont échoué qui dérangerait en réalité ses détracteurs.
Examens de fin d’année 2022 organisés avec Maestria, sans aucun incident; rentrée scolaire 2022-2023 sans incident quoique timide dans certains établissements scolaires, augmentation des places assises, réhabilitation et construction des établissements, intégrations des agents, pour ne citer que celles-là, sont autant de raisons qui prouvent à suffisance que Camelia Ntoutoume-Leclerq est en phase de redonner à notre secteur éducatif ses lettres de noblesse n’en déplaise à certains perfides trompeurs.
Herton-séna Omoungou
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