Faisant suite aux propos à son encontre attribués à l’ancien porte-parole de la Présidence de la République Ike Ngouoni au cours du premier jour de son procès dont il a été finalement condamné à huit (8) de réclusion criminelle, l’entrepreneur Gabonais NZE SOUALA Hercule, qui aurait été cité, vient d’éclairer la lanterne des gabonais sur sa page Facebook, battant en brèche les informations nauséabondes diffusées ici et là par des pseudos activistes gabonais proches de l’opposition.
Hercule NZE SOUALA a tenu à recadrer ses détracteurs suite aux propos de l’ancien porte-parole devant la Cour Criminelle Spécialisée, ”je n’ai pas reçu de l’argent parce qu’on me l’a donné gratuitement, j’ai travaillé avec abnégation et pragmatisme pour le développement de notre pays et comme partout d’ailleurs; comme en France où nous avons des entreprises qui travaillent pour l’Elysée ou aux États-Unis. Ces entreprises font des prestations, c’est la même chose que nous avons eu à faire et qu’on continue de faire au service du Président de la République. Et c’est un honneur pour nous de participer au développement de notre pays”.
Au Gabon il semble être devenu difficile d’accepter qu’un jeune ait une vie aisée sans passer par des pratiques loin de donner de la dignité à la vie humaine. Pourtant, le CEO de Global Business Consulting international a su faire son bon nombre de chemin grâce à l’entrepreneuriat afin de devenir le philanthrope qu’il est aujourd’hui.
‘‘je tiens à préciser à l’opinion que depuis 2015, je travaille au Service de la République en matière de stratégies, de propositions de stratégies en communication auprès de la plus haute autorité de notre pays. Je suis à la tête d’un groupe de médias. Et c’est un honneur pour moi. Je comprends que peut-être certains compatriotes frustrés ne se limitent qu’à faire de la diffamation un sport national”, NZE SOUALA Hercule.
Voici donc qui vient mettre fin aux rumeurs et aux débats stériles frappés de mauvaises odeurs qui ne favorisent pas le développement de notre pays.
Herton-Séna OMOUNGOU
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