Des compatriotes soucieux de voir le pays perduré dans la paix sociale, dénoncent une manœuvre ambigüe de la part de l’opposition gabonaise. En effet, dans un courrier daté du 21 novembre 2018, le Vénérable Jean Éyéghé Ndong, a sollicité du Ministère de l’Intérieur, qui en a pris note, l’encadrement de la réunion politique qu’il envisage tenir le vendredi 23 novembre 2018 à 15h au carrefour Rio. Toutefois, la population est très hagarde de constater qu’il y a des tracts distribués dans les quartiers de la capitale, appelant à une manifestation. Le motif : exiger la démission de la Présidente de la Cour Constitutionnelle à cette même date, au carrefour Rio et à la même heure. Très surprenant, car Jean Éyéghé Ndong Président du Groupe Parlementaire Front Uni, est aussi un personnage influent de la Coalition pour la Nouvelle République. Ou il ne s’agirait ni plus ou moins que de deux rassemblements ? Si c’était le cas, qui serait responsable des conséquences qui pourront découler de la présence dans un même lieu, de deux rassemblements aux finalités différentes, et des dérapages qui pourront s’ensuivre. Dans tous les cas, cette situation laisse perplexe. « Nous sommes fatigués que des gens malveillants ternissent l’image de notre quartier, nous resterons chez nous ! J’espère aussi que la préfecture de police dénoncera dans un communiqué, le caractère illégal de ce rassemblement », déclare à chaud une habitante de STFO, face à cette situation. Selon un compatriote, « Le Ministère de l’Intérieur n’a logiquement pas, d’autres choix que de proscrire la tenue d’une quelconque activité politique au carrefour Rio, ce week-end ». Zeus pour Focus News Gabon]]>
« JEU DE DUPES » : LE CNR, UNE STRATÉGIE BANCALE ?
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