Suite à la publication des résultats provisoires et globaux du référendum constitutionnel du 16 Novembre dernier par le ministre de l’intérieur Hermann Immongault, l’ancien Premier Ministre et Député de Ntoum a tenu à réagir. En effet, Julien Nkoghe Békalé qui est d’un soutien indéfectible au CTRI et au Président de la Transition Brice Clotaire Oligui Nguema, a salué la grande mobilisation et la responsabilité de l’ensemble des couches sociales du pays.
En effet, avec la victoire annoncée du Oui à 91,80%, la Nouvelle Constitution a été plébiscitée par le peuple gabonais. Par notre mobilisation, nous avons démontré notre volonté de bâtir un Gabon plus fort, plus inclusif et résolument tourné vers l’avenir.Avec un taux de participation officiel de 53,53 % et un score de 91,80 % pour le “OUI”, ce scrutin illustre un engagement massif en faveur de réformes profondes et durables. Nous avons exprimé un choix clair : celui de moderniser nos institutions, de renforcer la gouvernance et de tracer un nouveau chemin pour le Gabon», a écrit Julien Nkoghe Békalé.L’ancien cadre du Parti Démocratique Gabonais souligne également l’engagement historique de la jeunesse gabonaise qui s’est mobilisée autour de ce projet.
« Par sa participation active, elle a démontré qu’elle est non seulement le moteur, mais aussi le gardien de notre démocratie. Ce référendum est le témoignage d’une jeunesse consciente de son rôle dans la construction d’un Gabon meilleur. À vous, jeunes du Gabon, je dis : continuez de porter haut les valeurs de responsabilité et d’exemplarité qui inspirent toute la nation».Pour Julien Nkoghe Békalé il y a lieu de retenir que le peuple gabonais a fait un choix d’avenir basé sur une responsabilité collective grâce à un processus maîtrisé en mettant en avant l’unité nationale. «Les résultats annoncés en moins de 48 heures traduisent des avancées notables dans la gestion électorale. Cela prouve qu’un Gabon efficace et crédible est à notre portée, si nous restons mobilisés et engagés», indique Julien Nkoghe Békalé. Place donc désormais au Gabon nouveau avec l’avènement de la deuxième République.
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