Les performances financières du groupe Olam ont été reconnues à l’international, et lui ont valu une entrée dans le très sélect Fortune Global 500. Ce qui prouve que le Gabon s’allie à des partenaires fiables.
Pour rappel, le Fortune Global 500 est une liste publiée chaque année, qui classe 500 entreprises mondiales dans selon leurs chiffres d’affaires.Elle est publiée chaque année par le magazine Fortune, qui est aussi d’un classement américain : Fortune 500. Une liste similaire classe les 500 entreprises mondiales selon leur niveau de capitalisation boursière : Financial Times Global 500 (FT 500).
Sa place au sein de cette liste des 500 entreprises les plus importantes du monde, Olam l’a bien méritée. En effet le groupe singapourien réalise cette année un un chiffre d’affaires de plus de 26 milliards de dollars, soit un chiffre d’affaires en hausse de 7,6% au 02 août 2021.
Olam occupe donc la 469ème place. Ainsi, on peut en déduire que le Gabon a fait confiance à un partenaire de choix pour pour l’accompagner dans plusieurs projets structurants et dans l’agro-industrie.
Il faut dire que plutôt que de diversifier ses partenariats, l’État préfère, pour la réalisation de ses grands projets, miser sur la qualité. L’État, a instauré une forme de continuité dans ses projets au travers de relations au long cours avec certains groupes privés.
Arrivée au Gabon en 1999, l’entreprise a d’abord importé du riz et du lait en poudre en même temps qu’elle exportait des grumes de bois. Également présente dans la production d’hévéa et d’huile de palme, elle a surtout profité à partir de 2010 des grands projets d’infrastructures du gouvernement pour se diversifier, notamment grâce au Plan stratégique Gabon émergent (PSGE), élaboré à la demande d’Ali Bongo Ondimba pour sortir le pays de sa dépendance au pétrole.
FGM
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