Lors de la session du segment gestion 2022 du Conseil économique et social des Nations unies qui s’est tenue le 8 juin dernier, le Gabon a été élu membre du Conseil exécutif de l’ONU Femmes pour la période de 2023-2025. Un véritable témoignage de la reconnaissance de la Communauté internationale envers l’engagement du pays en faveur de l’égalité des sexes et l’autonomisation de la femme.
En effet, ces deux dernières années, le chef de l’État Ali Bongo Ondimba, à travers son épouse Sylvia Bongo Ondimba, s’est personnellement impliqué auprès des parlementaires en vue de la réforme de certaines lois censées garantir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes. Mais également, à travers la promotion de la stratégie de promotion des droits de la femme et de réduction des inégalités femmes / homme dans le pays.
C’est pourquoi, cette élection du Gabon au sein du Conseil d’administration d’ONU Femme, après les mandats brigués de (2013-2025) et (2016-2018), résonne au sein de l’opinion comme une reconnaissance de la part de la Communauté internationale envers l’engagement du pays en faveur de l’égalité des sexes et l’autonomisation de la femme.
Rappelons que l’ONU Femmes est l’entité des Nations Unies consacrée à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes. Porte-drapeau mondial des femmes et des filles, ONU Femmes a été créée pour accélérer les progrès dans la réponse apportée à leurs besoins partout dans le monde.
Le Conseil d’administration d’ONU Femmes est composé de représentants de 41 États membres, élus pour un mandat de trois ans par le Conseil économique et social des Nations unies, selon la répartition régionale suivante : Afrique (10), Asie et Pacifique (10), Europe de l’Est (4), Amérique latine et caraïbe (6) et Europe de l’Ouest et autres pays contributeurs (11).
La Rédaction
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