”Une certaine presse prétend que le Gouvernement aurait promu à l’Ambassade du Gabon à Rome, un compatriote en détention pour des faits présumés de détournement de fonds. Il s’agit en fait d’une homonymie qu’une simple vérification aurait permis de relever”, avait tweeté le Ministre d’État Alain Claude Billie-By-Nze à la suite de la nomination de Gislain Moussavou, ingénieur agricole au Ministère des affaires étrangères.
Face à une certaine presse qui se permet de braver sans cesse l’éthique et la déontologie journalistique, des opposants qui se déplacent aisément sur l’ensemble du territoire national voire au-delà, l’on s’interroge encore d’où viendrait l’idée selon laquelle le Gabon serait un pays ”autoritaire”. Une image que tend à faire croire à travers le groupe France médias monde, des mains tapies dans l’ombre pour faire pression sur Libreville.
L’opposition et ”sa presse” critiquent sans cesse et de façon ostentatoire le pouvoir en place sans que celui-ci ne daigne lever le petit doigt. D’ailleurs, cette même presse est souvent conviée par l’exécutif à prendre part à des activités majeures pour l’avancée de notre pays. Comment cela serait-il possible dans un pays où règne la dictature ? Récemment, Reporters Sans Frontières a reconnu les efforts entrepris par les plus hautes autorités en place pour l’amélioration de la liberté de la presse.
Aussi, il revient dans cet élan, aux médias occidentaux proches de l’opposition de notre pays, de s’appliquer dans la récolte, le traitement et la diffusion des informations qui leur sont parfois envoyées dans le seul but de ternir l’image du Gabon et de ses autorités.
Herton-Sena OMOUNGOU
Commentaires