Samedi 16 février, le procureur de la République, Olivier Nzaou, accompagné de plusieurs agents de la Direction générale des impôts (DGI) et d’une vingtaine de policiers, visiblement de la Police judiciaire a fait une descente dans les bars, discothèques et autres lieux de joie et de festivités nocturnes de Libreville, à partir de 2 heures du matin. Certains établissements, notamment le No Stress et Le Manoir ont été fermés car n’étant pas en phase avec les lois en vigueur en matière d’exploitation de tels établissements a but commercial. L’opération a eu le mérite d’être filmée par les envoyés spéciaux de plusieurs chaines de télévision locales qui ont été associés à l’opération. Les tenanciers des établissements étaient priés de présenter la déclaration fiscale de l’entreprise et tous les autres documents affairant à l’exercice de l’activité, notamment la licence. Certains clients étaient coopératifs et d’autres s’échauffaient. Ceux qui rouspétaient ou regimbaient contre cette opération spectaculaire furent embarqués surtout ceux n’étant pas en possession de leurs documents d’identification. Au night-bar le Murmure, par exemple, l’un des associés, Français, et le DJ gabonais, ont été embarqués pour avoir insulté les agents des forces de l’ordre Au cours de cette opération, la chanteuse Shan’l prise dans une surprise partie refusa de coopérer sous prétexte de sa notoriété L’artiste insulta et défia les forces de l’ordre en menaçant de faire intervenir ses hautes relations tapis dans l’ombre dans les hautes sphères de la république. Elle embarquée par les éléments des forces de l’ordre et présenté lundi devant le procureur de la république, qui est décidé de mettre un terme à la dépravation des mœurs, la consommation des stupéfiants par les jeunes et la grande délinquance et, ce en phase avec la volonté des plus hautes autorités du pays. Dans certaines boites de nuit, les agents ont découvert de drogue dure. RAMA ]]>
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