Ce mardi 10 décembre 2019, le conseiller juridique et stratégique du président des sociaux-démocrates gabonais (SDG), Raymond Placide N’dong Meyo, a animé une conférence de presse compte tenu des récents événements en ce qui concerne les détournements de deniers publics.
Suite aux accusations lancées contre le président du SDG, Juste Louangou Bouyomeka, son avocat, Raymond Placide N’dong Meyo, a par le canal d’une conférence de presse, tenue ce 10 décembre courant à leur siège social, réfuté toute implication du leader SDGiste dans le scandale d’enrichissement illicite qui fait couler beaucoup d’encre actuellement au Gabon.
En effet, depuis la vague d’arrestations pour le compte de l’opération scorpion, certains détracteurs des sociaux-démocrates gabonais et visiblement « mal intentionnés », ont porté des propos accusateurs à l’encontre du président SDGiste. Ceux-ci prétendent que ce dernier serait lié de près ou de loin aux détournements de deniers publics. Pour le conseiller juridique et stratégique de Juste Louangou Bouyomeka, ces fausses accusations visent à diffamer le leader du parti qui a toujours été une personne «honorable et considérée au sein de sa communauté.
Toutefois, il appelle à un minimum de bonne foi et d’intelligence de la part de ses compatriotes, « car ses injures et diffamations ne sont ni plus ni moins que des actes de distractions pour les éloigner de leur objectif principal qui est le développement durable du Gabon », a-t-il indiqué. Par ailleurs, il prend à témoin l’opinion nationale et internationale sur la question et exige que cette cabale envers sa personne cesse une bonne fois pour toutes.
Conscient que cette histoire n’atteindra son épilogue que si les coupables sont exposés et connus de tous, le président des sociaux-démocrates gabonais, compte ester en justice afin que de telles agressions ne restent pas impunies et ne fassent le lit de l’anti-cohésion nationale.
Au regard de tout ce qui précède, Raymond Placide N’dong Meyo, n’a pas manqué d’informer les détracteurs sur les dispositions prévues par la loi gabonaise, dans le code pénal concernant les délits dont ils sont coupables. Ainsi, le délit de diffamation est condamné dans l’article 442 du présent code.
FGM
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