Signé officiellement par Geoffroy Mbouity,l’article paru dans la livraison n°31 du vendredi 29 juillet 2022 de l’hebdomadaire satirique ”Bazooka” d’Olivier Konaté Nkombé a visiblement percé un abcès qui n’en finit pas de puer au sein de la presse nationale.
”Ils sont là à se présenter comme les meilleurs de la place, alors qu’ils font dans le mercenariat plumitif. On les payait avec l’argent de l’Etat pour mieux noircir Ali Bongo Ondimba et ses proches. La vérité n’a pas de tombe dit-on. Mais la comparution de Ike Ngouoni a permis à l’opinion de savoir que cette presse si prompte à se défouler sur Ali Bongo Ondimba et ses proches, n’est pas exemplaire.
Même leurs publications actuelles font partie de leur mercenariat. Pitié hein !La bien-pensance d’une certaine presse est mal en point de-puis que les suppôts de Brice Alihanga défilent devant la Cour criminelle spécialisée. Il y a de quoi passer sous les radars. Ces confrères qui se sont toujours montrés comme des vertueux et ont souvent pour cible le pouvoir en place sont désormais mis à nu. Ce ne sont autre qu’une bande de profito-situationnistes.
Derrière une écriture épidermique contre les gouvernants, on se rend compte que c’est juste une colère, du fait qu’on leur a arraché le morceau de manioc de la bouche. Comme c’est regrettable de voir que ces confrères qui se font passer pour des meilleurs, ne sont autre que des vrais mercenaires. Ils ont nié lorsqu’il s’est agi des « révélations » de l’ancien patron de la GOC.Mais voilà que ça vient d’être confirmé par l’ex-porteur de parole du Bord de mer, Ike Ngouoni : la presse proche de l’opposition a aussi profité de l’argent issu des détournements des fonds publics de la clique à BLA.
Il faut voir leur gêne. Depuis que les éléments de BLA passent devant la Cour criminelle spécialisée, des confrères semblent gênés pour retranscrire ce qui se passe au tribunal. Quand ils ne dé-forment pas ce qui est dit, ils se laissent aller dans des contorsions lexicales pour tenter de laver leurs anciens sponsors.Malheureusement pour nos confrères, on a vite com-pris leur jeu. Ils ne veulent pas être en première ligne pour qu’on ne les voit pas. Faisant semblant qu’on ne les voit pas. Ils étaient bien arrosés par BLA. Ils prenaient l’argent du pouvoir pour ne s’attaquer qu’à certaines personnes du régime. Actuellement, certains parmi ces confrères bien-pensants sont au Maroc, aux assises de l’Union de la presse francophone.Ils savent bien leur rôle quand BLA était aux affaires. Ils vont dire que c’est un procès d’intention mais à écouter ceux qui passent à la Cour criminelle spécialisée, ces confrères ont été confondus. Le passage à la barre de l’ancien porteur de parole du Bord de mer, Ike Ngouoni vient confirmer qu’on a une certaine presse friande de l’argent du pouvoir pour s’attaquer seulement à certaines personnes du pouvoir.
Lorsque Brice Alihanga, du temps de sa toute puissance était aux commandes, il avait tout fait pour avoir dans sa main, une certaine presse. Celle qui se mon-trait quelque peu très dure envers le pouvoir en place. Pour cela, BLA avait tout fait pour la mettre sous ses ordres, via les fonds avec lesquels il les arrosait. Il fallait donner une visibilité à toutes les actions de BLA tout en massacrant le chef de l’Etat. Voilà le deal.Il suffit de relire leurs différentes publications, pour être édifiés. Ike Ngouoni, en passant devant la barre a bien confirmé le mercenariat mis en place. Les médias proches de l’opposition ont été engraissés par BLA. Il n’y a rien à dire. Et dans l’argent qui était remis à Ike Ngouoni, l’ancien porte-parole de la présidence de la République, et ajevien pur-sang, il a bien reconnu qu’il arrosait financièrement la presse proche de l’opposition pour ne plus « attaquer la famille du chef de l’Etat » (sic).Des révélations qui corroborent celles de l’ancien ADG de la GOC, Christian Patrichi Tanasa Mbadinga, qui est passé avant Ike Ngouoni devant la Cour criminelle spécialisée.
Les confrères qui se prennent pour des intrépides, voire pour les meilleurs, ont été arrosés avec l’argent issu des détournements des proches et amis de BLA. Sinon, il fallait montrer que BLA travaillait, tout comme ses amis.Là, ces confrères sont groggys, du fait qu’ils ont été mis à découvert. Ike a bien dit que son département donnait mensuellement de l’argent à des publications de la place, entre autres : « Gabonmediatime, L’Aube, Gabonreview, Le Mbandja, Echos du Nord… ». Les responsables de ces médias palpaient mensuellement des millions pour la gloire de BLA et ses affidés. Pendant qu’ils s’en prenaient au président de la République.On comprend alors leur silence depuis les révélations de Patrichi Tanasa Mbadinga. Ils préfèrent seulement se concentrer sur certaines « révélations » de ce dernier, pour chercher à cacher leurs accointances avec BLA et consorts.
Se défouler sur le président de la République et certains de ses proches, tel était leur travail, tout en mettant en haut leur sponsor.Maintenant, on comprend pourquoi, depuis que leur sponsor a été jeté en taule, ils sont ivres de colère contre le pouvoir en place, pour ne pas dire contre Ali Bongo Ondimba et certains de ses collaborateurs. Le procès de Ike a permis de montrer à la face du monde que ces confrères sont rien d’autre que des bons mercenaires de la plume. Les titres ronflants et élogieux envers la bande à BLA embastillée de leurs publications ne sont autre qu’une façon de se révolter.Et ils sont là à se présenter comme les meilleurs de la place, alors qu’ils font dans le mercenariat plumitif. On les payait avec l’argent de l’Etat pour mieux noircir Ali Bongo Ondimba et ses proches.
La vérité n’a pas de tombe dit-on. Mais la comparution de Ike Ngouoni a permis à l’opinion de savoir que cette presse si prompte à se dé-fouler sur Ali Bongo Ondimba et ses proches, n’est pas exemplaire.Même leurs publications actuelles font partie de leur mercenariat. Depuis ce qui a été dit lors du passage de Christian Patrichi Tanasa Mbadinga, nos confrères observent un mutisme. Ils préfèrent simplement s’intéresser à d’autres « révélations » que de parler de leur cas. Pour certains, ils ont préféré sauter dans le premier avion pour le Maroc où se sont déroulées les dernières assises de l’Union de la presse francophone. Une vraie bande des filous. Pour ne pas dire des receleurs.
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