Depuis septembre 2024, Andrée Nze Obiang, une jeune étudiante gabonaise, vit un véritable calvaire en raison de graves problèmes de santé. Atteinte d’une insuffisance rénale avancée, d’une infection pulmonaire et de complications cardiaques, son état ne cesse de se dégrader. Tout a commencé par une perte d’appétit et des nausées persistantes, des symptômes qu’elle ne soupçonnait pas être les signes d’une maladie aussi grave.
Ce n’est qu’après des malaises répétés qu’elle a été conduite à l’hôpital, où les examens médicaux ont révélé la gravité de sa condition.Aujourd’hui, son état de santé s’aggrave de jour en jour. Son ventre a pris un volume anormalement important, elle souffre d’une toux persistante et l’un de ses membres inférieurs est anormalement enflé. Ces complications rendent son quotidien de plus en plus difficile, l’empêchant même de mener une vie normale. Son état nécessite une prise en charge médicale urgente et spécialisée, ce qui dépasse les capacités des structures hospitalières locales.Face à cette situation alarmante, Andrée Nze Obiang lance un cri de détresse aux autorités gabonaises et aux âmes de bonne volonté. Elle espère obtenir un soutien pour être évacuée à l’étranger, où elle pourrait bénéficier d’un traitement approprié et augmenter ses chances de guérison.
Son cas nécessite des soins spécialisés et une attention médicale soutenue, ce qui reste limité dans son pays.L’appel d’Andrée résonne comme un témoignage poignant des défis rencontrés par de nombreux patients nécessitant des soins spécialisés. Cette situation soulève également la problématique de l’accès aux soins de santé pour les cas graves au Gabon. En attendant une réponse favorable, la jeune femme garde l’espoir qu’une main secourable se tendra vers elle pour lui offrir une seconde chance de vivre.
Ombreta Mbouyou, journaliste stagiaire école
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