Dans le but de continuer à exploiter de l’or de manière illégale, un orpailleur à la nationalité douteuse, aurait mis le feu à plusieurs habitations dans le district de Ndangui dans la province de l’Ogooué-lolo, en tentant ainsi de discréditer les forces de défenses.
Concernant l’incendie qui a mis à la belle étoile plusieurs familles, une enquête a été faite. Il en ressort que le véritable responsable de l’incendie dans le village de Ndangui serait un orpailleur Tchadien.
Des informations relayées sur les réseaux sociaux accusent les militaires gabonais, ce qui n’est sans doute que mensonge. En effet, c’est un orpailleur tchadien nommé Madjou Boubou sangaré âgé de 23 ans, habitant aussi le village de Ndangui dans la province de l’Ogooué-lolo.
L’homme qui se faisait passer pour un gabono-malien a mis le feu à 40 maisons avant de faire circuler de fausses informations sur les réseaux sociaux dans le but de susciter la colère des populations. C’est d’ailleurs au cours d’un interrogatoire que la véritable identité de l’indélicat a été dévoilée par un de ses complices.
Quelque temps après le pyromane sera interpellé par la brigade de la gendarmerie, en avouant être l’auteur de cet acte dans le seul but de continuer à exploiter l’or de manière illégale.
Madjou Boubou Sangaré devra faire face à la justice dans les prochains jours. Un fait curieux alors qu’il est réputé être de nationalité tchadienne, ce dernier a été pris en possession d’un certificat de nationalité gabonaise, et de plusieurs autres documents attestant de sa nationalité gabonaise établie selon certaines sources sur la base de faux actes de naissance.
Alors que les gouvernants mènent une lutte acharnée contre l’exploitation illégale de l’Or, cette pratique réprimandée par la justice gabonaise ne cesse d’attirer des individus de diverses nationalités. Une convoitise qui a poussé Madjou Boubou Sangaré à orchestrer un soulèvement. L’homme pourrait être poursuivi pour usurpation d’identité, exploitation illégale de pierres précieuses, et incendie volontaire.
N.O
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