Le Premier ministre de la Transition, Raymond Ndong Sima, a rencontré, le 26 février, les membres de la société Orelo dans le but de discuter du projet de construction de l’usine de traitement d’eau dénommée Ntoum 7. Plusieurs membres de l’équipe gouvernementale ont participé à cette réunion dont l’objectif était de présenter au chef du gouvernement le planning des actions à mener par l’État dans les projets liés à l’eau et à l’électricité. Ce qui est évident, les travaux du projet Ntoum 7 devraient débuter en fin mars 2024, après de longues discussions et préparations.
Cette nouvelle a été accueillie avec un mélange de soulagement et d’excitation par les habitants de la région, qui attendent depuis longtemps ces travaux pour améliorer leur qualité de vie.Cette usine devrait jouer un rôle important. La mise en place de cette usine représente une opportunité de développement et de création d’emplois pour la population locale.Il est crucial que les autorités gabonaises veillent à ce que les travaux de construction de l’usine se déroulent de manière transparente et respectueuse de l’environnement. Il est également important que les entreprises impliquées dans ce projet respectent les normes de sécurité et de qualité afin d’assurer la durabilité et le succès de l’usine de Ntoum 7. En effet, Face aux retards dans la mise en œuvre des projets engagés dans les secteurs eau et électricité, le Premier ministre de la Transition, Raymond Ndong Sima, exigeait lors d’une précédente séance de travail, d’accélérer la cadence.
Ce lundi 26 février, il a devisé avec les membres de la société Orelo, investisseur annoncé dans le projet de construction de l’usine de traitement d’eau, dénommé Ntoum 7 dont les travaux pourraient débuter fin-mars 2024. . Les habitants espèrent que ces travaux permettront de répondre à ces besoins essentiels et de stimuler le développement économique de la région.Cependant, certains habitants restent sceptiques quant à la réalisation effective de ces travaux, compte tenu des retards et des obstacles rencontrés par le passé. Ils craignent que les délais ne soient une fois de plus repoussés, reportant ainsi l’amélioration de leurs conditions de vie.
La signature de la convention de concession de cette usine de traitement et d’adduction d’eau potable Orélo fait suite au protocole d’accord signé en mars 2017 par la République gabonaise, le FGIS et le groupe Eranove. Devenu caduque, le cadre juridique doit être restructuré d’ici la fin du mois de mars. Ce qui facilitera la gestion et le suivi des travaux par les l’entreprises chargée du projet. Le projet Orélo vise à améliorer la desserte en eau potable de Libreville et de ses environs par le renforcement de la capacité de production correspondant à la consommation de plus de 600 000 personnes, afin de répondre à la demande, sans cesse, croissante de la population. En conclusion, l’annonce du début des travaux de l’usine suscite énormément d’espoir au sein de la population. Il reste à espérer que cette fois-ci, les promesses seront tenues et que la région pourra enfin bénéficier des infrastructures et des services dont elle a tant besoin.
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