Mort, sosie, inapte à diriger le Gabon, tels sont les qualificatifs utilisés par les détracteurs du Président de la République depuis le malaise survenu en Arabie-Saoudite. En effet, le jeudi 11 juillet 2019, Ali Bongo Ondimba a cloué le bec à tous ces charognards par la quantité de travail abattu ce jour.
En effet, c’est au ministre d’État, ministre de l’Intérieur, de la justice garde des Sceaux, Edgard Anicet Mboumbou Miyakou, et du ministre de la défense nationale, Rose Christiane Ossouka qu’est revenu l’honneur d’ouvrir le bal de la longue journée consacrée aux audiences qu’a accordé le Chef de l’État au palais du bord de mer.
Au menu des échanges, le récent changement apporté à la tête des forces de sécurité et de défense nationale adopté par décret rendu public le mardi 9 juillet 2019. Les membres du gouvernement accompagnés des nouveaux promus sont allés présenter leurs civilités à la première institution du pays. Le Chef de l’Exécutif a rappelé à ses hôtes les responsabilités auxquelles ils devront faire face mais aussi des sages conseils leurs ont été prodigués afin de mener à bien leur mission.
Ensuite, le tour est revenu au ministre des Affaires étrangères, Alain-Claude Billie By Nze, de venir rendre compte de sa dernière mission des travaux du sommet des Chefs d’État et du gouvernement de l’Union Africaine (UA). Au cours de cet entretien, les principales avancées institutionnelles en cours de la Communauté économique des états de l’Afrique centrale (Ceeac) ont également été abordées.
Après cette cet agenda fastidieux, c’est à bord de sa voiture conduite par son Directeur de cabinet, Brice Laccruche Alihanga, que le président s’est rendu dans les artères de la capitale gabonaise.
Mebang de Ndjokaye
Commentaires