Récemment une conférence de presse s’est tenue à Libreville pour annoncer une avancée significative dans la lutte contre le chômage et la précarité des Gabonais. Le projet Taxigab, initié par le Chef de l’État Brice Clotaire Oligui Nguema, entre dans sa deuxième phase, visant à offrir de nouvelles opportunités d’emploi dans plusieurs localités du pays. L’annonce a été faite par la société Taxi GAB+ et le PNPE.
Un Projet Ambitieux:
Le projet Taxigab, qui a déjà fait ses preuves lors de sa première phase, est conçu pour permettre à de nombreux Gabonais de trouver un moyen de subsistance dans le secteur du transport. Lors de la conférence, les représentants de Taxigab, en collaboration avec le Pôle National de Promotion de l’Emploi (PNPE), ont souligné l’importance de cette initiative non seulement pour créer des emplois, mais également pour améliorer les conditions de vie des citoyens.
Quatre Localités Ciblées:
La deuxième phase du projet se concentrera sur quatre localités clés : Libreville, Port Gentil, Franceville et le Woleu-Ntem. Ces localités ont été choisies en raison de leur densité de population et de leur besoin accru de solutions de transport efficaces et accessibles. Cette expansion vise à générer des opportunités d’emploi pour les conducteurs de taxi, tout en répondant à la demande croissante de services de transport dans ces régions.
Engagement du Chef de l’État:
Le chef de l’État gabonais a exprimé son engagement à soutenir ce projet, le qualifiant de crucial pour le développement socio-économique du pays. La mise en place de Taxigab phase 2 s’inscrit dans une stratégie plus large visant à réduire le chômage et à aider les Gabonais à sortir de la précarité, en leur offrant des opportunités économiques viables. Le lancement de la phase 2 du projet Taxigab représente une étape significative dans les efforts du gouvernement gabonais pour lutter contre la précarité et favoriser l’emploi. Les attentes sont grandes et les Gabonais espèrent que cette initiative contribuera réellement à transformer leur quotidien.
Marie Hernande OBISSA, Journaliste Stagiaire École
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