Lors de la descente sur le terrain effectué par l’actuel maire de la commune de Libreville Léandre Nzue le samedi 14 septembre 2019 au quartier Okala situé dans le premier arrondissement de ladite commune, ce dernier a profité de cette occasion pour présenter aux commerçants le nouvel espace désormais mis à leur disposition pour exercer leurs activités commerciales en toute sécurité.
En effet, alors que les commerçantes de ce quartier ne cessent de s’entêter à poursuivre leurs activités sur les trottoirs ou à proximité des routes, mettant ainsi en danger leurs propres vies et celles des piétons, et ce malgré les interpellations de la mairie de Libreville, un site destiné à leurs activités commerciales vient d’être mis à leur disposition.
« Nous vous remercions infiniment monsieur le maire. Grace à vous, les femmes commerçantes d’Okala ont désormais un site où elles pourront écouler tranquillement leurs produits en toute sécurité et sans payer aucun frais de location», a indiqué en quelques mots la responsable des femmes commerçantes d’Okala, qui a tenu à manifester sa gratitude à la première autorité municipale de la capitale politique du Gabon.
Selon les informations reçues des agents de la municipalité et des commerçantes, il semblerait en effet que le maire de la commune de Libreville, se soit proposé de prendre en charge, l’entièreté des frais relatifs au droit d’occupation et d’aménagement dudit espace commercial. « Ce geste de générosité qui est l’œuvre du maire Léandre Nzué, qui dans son altruisme a bien voulu penser aux mères de famille de nous sommes est plus que louable et à encourager », a indiqué une commerçante reconnaissante.
Poursuivant son opération destinée à libérer les trottoirs, ce dernier a par la suite interpellé non seulement les commerçants mais aussi les hommes et les femmes exercent l’activité de clandos dans le deuxième arrondissement de Libreville. L’édile de la capitale s’est en effet, rendu au marché de Nkembo, où il s’est fait le devoir de sensibiliser les principaux concernés, sur l’occupation anarchique du domaine communal.
C’est donc en fin diplomate qu’il a demandé aux commerçantes de réintégrer les marchés construits à cet effet et aux clandomen de ne plus stationner en bordure des routes, car étant le plus souvent à l’origine des embouteillages. « Il ne tient qu’à vous de nous suivre dans notre démarche de rendre la capitale propre et sécurisée à défaut d’être traqué par nos équipes », a-t-il déclaré
D.J
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