Toujours en première ligne lorsqu’il s’agit de lutter contre les violences faites aux femmes, le VIH Sida, la protection de l’environnement et la promotion du sport au Gabon, Sylvia Bongo Ondimba qui ne ménage aucun effort pour œuvrer pour le développement du Gabon est aujourd’hui considérée comme étant une première dame pas comme les autres.
Très active à travers sa fondation, Sylvia Bongo Ondimba s’illustre depuis des années dans des actions en faveur de l’amélioration des conditions de vie des Gabonais. Cette grande dame n’a de cesse de militer pour la défense et la protection des veuves, un combat qu’elle porte à bras le corps. Lequel a abouti à la célébration de la «Journée internationale de la veuve», instituée par l’ONU sur proposition du Gabon.
Lutte contre les violences faites aux femmes
Parce qu’il existe une vérité universelle applicable à tous les pays, cultures, et communautés, notamment, la violence à l’égard des femmes n’est jamais acceptable, jamais excusable, jamais tolérable, et parce qu’il est plus que primordiale d’agir et d’agir vite pour mettre fin à ce mal indigne qui gangrène les sociétés. La première dame du Gabon a décidé de faire de ce combat, son cheval de batail. « Je tiens à saluer les engagements pris pour faire bouger les lignes. La création de centres d’accueil et l’adoption future d’une législation spécifique sur les cas de violences faites aux femmes sont des avancées majeures », dixit Sylvia Bongo Ondimba.
Selon cette dernière, le Gabon ne saurait être saint et fort sans l’éradication de toute forme de violence à l’égard des femmes. La mobilisation dont elle est à l’origine n’a de cesse d’être grandissante chaque jour. Son engagement profond pour cette lutte, semble déjà porter ses fruits. N’ayant pas l’intention de dormir sur ses lauriers, la première dame du Gabon invite à redoubler d’efforts pour gagner ce combat essentiel qui offrira un meilleur avenir aux mères, aux sœurs et aux filles de cette nation.
Le combat contre le VIH Sida se poursuit
Il nous souviendra que la fondation dont la première dame est la présidente, avait initié la campagne dénommé Can sans Sida en 2012. Celle-ci avait pour objectif de ne pas oublier la situation de la pandémie du VIH sur le continent africain pendant ladite période de fête et de compétition. Soutenue par la Confédération Africaine de Football (CAF) comme l’une des 4 causes caritatives et humanitaires de la CAN Orange 2012, la campagne avait bénéficié d’une mobilisation sans précédente et permis une large diffusion des messages de prévention pour une victoire sans appel, un Trois-Zéro, contre le SIDA. Zéro transmission. Zéro décès. Zéro discrimination
Aujourd’hui, grâce à une prise en charge préventive, éradiquer la transmission du VIH Sida de la mère à l’enfant est désormais à portée de main. Pour Sylvia Bongo Ondimba, connaître son statut VIH doit être une priorité pour les femmes enceintes. Sensibiliser et rendre disponibles les médicaments antirétroviraux doit être la priorité de toute Nation. « Ne rien faire, c’est être complice de ce drame qui se joue sous nos yeux et décime nos familles et nos communautés. Aujourd’hui nous ne pouvons tolérer que des enfants naissent et vivent avec le VIH SIDA », a-t-elle déclaré.
Lutte contre les cancers féminins.
Avec pour message principal « Faites-le pour ceux que vous aimez », la campagne « Octobre Rose », lancée au Gabon en 2013 par la Fondation Sylvia Bongo Ondimba a été l’occasion de renforcer les actions de sensibilisation, de prévention et de détection sur l’ensemble du territoire et de poursuivre les progrès réalisés en matière de lutte contre les cancers féminins. Grâce à l’appui financier et matériel de cette Fondation, ce sont plus de 40 000 personnes sensibilisées par des actions de proximité et 10 000 femmes dépistées dans les différents centres présents sur l’ensemble du territoire gabonais.
Dans le but de permettre à toutes les femmes de pouvoir connaitre leur statut cancérologique, Sylvia Bongo Ondimba, a permis à ce que le dépistage soit gratuit dans les structures de santé publique. Celui-ci est accessible à chaque femme de plus de 25 ans tout au long de l’année. Les objectifs visés par cette campagne de dépistage, est de parler du cancer, informer, mobiliser. De convaincre les femmes de se faire dépister. Donner de l’espoir. Et inciter les acteurs économiques et associatifs locaux à promouvoir la détection précoce.
Promotion du sport national à l’international
Souhaitant partager sa ferme conviction selon laquelle, le cancer n’est pas une fatalité. La première dame du Gabon reste convaincue qu’il est possible d’améliorer sensiblement le vécu des patients, dans le respect de leur dignité. A cet effet, elle a initié le marathon dénommé « la Gabonaise », qui est une course militante de 5 kilomètres, dédiée aux femmes. A cette occasion, c’est près de 5800 femmes, unies, solidaires, déterminées à relever un défi sur elles-mêmes pour porter haut une cause commune qui y ont participé.
Pour encourager l’excellence, Sylvia Bongo Ondimba a indiqué que sa Fondation accompagnera Chancia, Audrey et Andresca, gagnantes de « La Gabonaise 2019 » pour leur offrir la possibilité de représenter le Gabon lors du Schneider Electric Marathon de Paris. « Mesdemoiselles, je suis convaincue que vous nous rendrez fiers une nouvelle fois », s’est-elle exprimée.
Se dépasser pour une cause qui transcende toute chose, tel est en effet l’objectif commun de tous les coureurs présents également sur le Run In Masuku. Tout comme sur les 10km Port-Gentil et le Marathon du Gabon, autres courses citoyennes dédiées à la lutte contre les cancers féminins, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille a été présente sur ce rendez-vous sportif avec son « village rose » au sein duquel se déroulent des actions de dépistage. Grâce à tous ces événements sportifs, le sport Gabonais est désormais suivi à l’international.
Préservation
de l’environnement
Faisant du combat pour la préservation de l’environnement de son époux le sien, Sylvia Bongo Ondimba a bien l’intention d’aider l’Etat gabonais à gagner son statut de pays émergent grâce à sa fibre verte. Notons que l’émergence des grandes questions environnementales a changé le regard porté sur l’écosystème gabonais. La préservation de la forêt – seule capable, avec les océans, de capter le CO2 – est devenue un enjeu planétaire, et les pays du bassin forestier et hydrographique du Congo ont été propulsés aux avant-postes de la lutte.
« Notre pays dispose d’un patrimoine naturel et culturel riche dont nous devons être fiers. Le partager au plus grand nombre et assurer un rayonnement à l’international du Gabon permet d’inscrire notre histoire dans l’Histoire », a-t-elle déclaré. Dans le même esprit, cette dernière n’a de cesse de prôner pour le retour à la terre. A cet effet, des enfants de différents établissements de la place sont mis à contribution aux fins de leurs donner le goût de la terre.
Une épouse dévouée
Ayant largement contribué à éviter un drame qui aurait ébranlé l’ensemble de la nation gabonaise et probablement encore affecté par des souvenirs douloureux inhérents à ces heures difficiles auxquelles elle et son époux ont été confrontés il y a encore quelques mois, Sylvia Bongo reste digne et à saluer. Cette dernière a fait preuve d’un courage, d’une foi inébranlable et d’un amour consolidés dans des difficultés d’une telle gravité.
De Riyad à Rabat, Sylvia Bongo Ondimba a été sur tous les fronts, ne ménageant aucun effort pour que le Président de la République traverse avec succès ces moments difficiles ayant tant fait couler encre et salive depuis bientôt un an. Aujourd’hui encore, malgré toutes les gesticulations autour de la question institutionnelle, malgré les accusations fallacieuses portées contre elle et qui effondreraient le moral de quiconque se trouverait dans la même situation au plan personnel, la Première dame joue son rôle de « premier » médecin, de protectrice quasi-maternelle, imperturbable et uniquement obsédée par le recouvrement de la pleine santé du Chef de l’État.
FGM
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